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30 janvier 2022

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Ces situations typiques des familles nombreuses qui vous marquent Ă  vie
FAMILY

Liderina | Shutterstock

Cerith Gardiner - publiĂ© le 20/01/22

Si vous faites partie d’une famille nombreuse, vous allez certainement vous reconnaitre dans l'une des situations dĂ©crites par Cerith Gardiner, journaliste de l'Ă©dition amĂ©ricaine de Aleteia. Elle dĂ©crit avec humour les bienfaits insoupçonnĂ©s de grandir au sein d'une famille nombreuse.

Grandir avec huit frĂšres et sƓurs a certainement Ă©tĂ© pour moi une bĂ©nĂ©diction, mĂȘme si je ne l’ai pas toujours rĂ©alisĂ© quand j’étais plus jeune. Maintenant que j’ai la quarantaine, je garde d’excellents souvenirs de cette Ă©poque et je rends grĂące Ă  mes parents pour tout ce qu’ils ont fait pour nous. Aujourd’hui, je peux dire que leur ouverture d’esprit pour accueillir autant d’enfants a Ă©tĂ© le plus beau cadeau que j’ai reçu. Alors, en l’honneur de toutes les familles nombreuses, voici 14 situations typiques que vivent les enfants de familles nombreuses et qui je l’espĂšre vous feront sourire.

ÊTRE APPELÉ PAR D’AUTRES PRÉNOMS

Lorsque votre mĂšre vous appelle pour venir l’aider, elle utilise tout sauf votre propre prĂ©nom. Ma mĂšre avait l’habitude de dĂ©rouler les prĂ©noms de ses enfants par ordre de naissance jusqu’à ce qu’elle arrive Ă  mon prĂ©nom. J’ai eu de la chance car Ă©tant le numĂ©ro cinq de la fratrie, elle n’avait pas beaucoup de chemin Ă  faire. Quant Ă  ma petite sƓur, elle devait attendre quelques bonnes secondes avant que son prĂ©nom ne soit prononcĂ©, et mĂȘme lĂ , il arrivait parfois que le chien lui vole la vedette et soit mentionnĂ© en premier !

S’HABITUER À NE PAS AVOIR DE TEMPS CALME

Essayer de trouver un peu de temps seule Ă©tait toujours difficile. MĂȘme sous la douche, je pouvais ĂȘtre interrompue par un frĂšre ou une sƓur plus ĂągĂ©e qui avait besoin d’urgence de la salle de bain, ou par des plus jeunes qui voulaient juste dire « coucou Â». Ce qui est gĂ©nial, c’est que cela m’a prĂ©parĂ©e Ă  ma vie de mĂšre, oĂč avoir du temps pour soi est un luxe Ă  ne pas tenir pour acquis (mĂȘme si, aprĂšs cinq minutes de silence, je commence Ă  me sentir seule !).

PARTAGER UNE CHAMBRE

Les chambres Ă  coucher ont toujours Ă©tĂ© un sujet dĂ©licat dans ma famille. Quelle chambre Ă©tait partagĂ©e avec quel frĂšre ou quelle sƓur ? Seuls les deux frĂšres aĂźnĂ©s avaient leur propre chambre. J’ai partagĂ© la mienne avec des frĂšres et sƓurs plus ĂągĂ©s et plus jeunes, Ă  diffĂ©rentes Ă©tapes de mon enfance, et chaque nouvel occupant apportait quelque chose d’unique Ă  la chambre. Non seulement cela nous a aidĂ©s Ă  crĂ©er des liens, mais nous avons ainsi Ă©tĂ© confrontĂ©s Ă  tous les problĂšmes et partagĂ© aussi quelques secrets.

DÉCOUVRIR LES JOIES DE PORTER LES VÊTEMENTS DE SES AÎNÉS

Je me souviens encore du cardigan violet de ma sƓur aĂźnĂ©e que je convoitais depuis quelques annĂ©es. Le sentiment de satisfaction que j’ai ressenti lorsqu’il a finalement atterri entre mes mains Ă©tait incommensurable. Je me moquais bien de savoir qu’il avait quelques trous de mites ou que les manches s’étaient un peu Ă©tirĂ©es. Je portais le cardigan de ma grande sƓur ! Cette joie Ă©tait, avouons-le, parfois tempĂ©rĂ©e par un lot de vĂȘtements d’étĂ© taille 12 ans hĂ©ritĂ© de mon aĂźnĂ©e dont l’état Ă©tait prĂ©texte Ă  les porter le moins possible.

ET LES JOIES D’AVOIR SES PROPRES VÊTEMENTS
SHOPPING

NoĂ«l signifiait souvent recevoir une robe toute neuve. Oui, toute neuve, jamais portĂ©e auparavant ! Ces petites piĂšces uniques Ă©taient chĂ©ries, et lorsqu’elles Ă©taient transmises aux jeunes sƓurs, c’était comme si on leur confiait un nouveau-nĂ©. Cela nous a certainement appris Ă  ĂȘtre reconnaissants pour les choses qui Ă©taient si prĂ©cieuses dans nos vies, et c’est encore le cas aujourd’hui.

ÊTRE CONNU COMME LA SƒUR OU LE FRÈRE DE


Comme j’étais la quatriĂšme de ma famille Ă  frĂ©quenter le mĂȘme lycĂ©e pendant de nombreuses annĂ©es, on m’a toujours appelĂ©e « la sƓur de Sian Â». En plus du fait qu’il y a une forte ressemblance entre tous mes frĂšres et sƓurs, on m’appelait aussi « la sƓur de David  Â» ou encore « la sƓur de Robert Â»â€Š Une chose est sĂ»re : on ne m’appelait rarement par mon propre prĂ©nom. À l’époque, cela m’agaçait, mais j’avais aussi beaucoup de fiertĂ© et un sentiment d’appartenance.

SE SENTIR RAREMENT OFFENSÉ

Avec un grand nombre de frĂšres et sƓurs, les occasions de rire et de plaisanter sont encore plus nombreuses
 souvent aux dĂ©pens les uns des autres. Les frĂšres et sƓurs sont toujours prompts Ă  souligner « tendrement Â» tous vos dĂ©fauts, ce qui ne fait que vous vous renforcez pour la vie dans le grand monde.

SAVOIR NÉGOCIER DÈS LE PLUS JEUNE ÂGE

Entre la nĂ©gociation nĂ©cessaire pour obtenir le dernier biscuit et la discussion pour convaincre vos parents que vous avez plus besoin de la voiture que votre sƓur, vous dĂ©veloppez rapidement des compĂ©tences de nĂ©gociateur aguerri.

RÉORGANISER LE CALENDRIER DE L’AVENT
ADVENT CALENDAR

L’un des problĂšmes lorsqu’on a plusieurs frĂšres et sƓurs, c’est qu’on a l’impression de devoir attendre une Ă©ternitĂ© avant de pouvoir ouvrir une fenĂȘtre du calendrier de l’Avent. Le pire, c’est quand vous dĂ©couvrez que votre fenĂȘtre a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© ouverte par un frĂšre plus jeune et que vous devez passer le reste de la matinĂ©e Ă  rĂ©organiser le planning d’ouverture des fenĂȘtres du calendrier.

10 AVOIR SUFFISAMMENT DE PERSONNES AVEC QUI JOUER

C’est un sujet important. Lorsque vous voulez jouer Ă  un jeu de sociĂ©tĂ© (ou Ă  n’importe quel autre jeu d’ailleurs), vous trouverez gĂ©nĂ©ralement suffisamment de personnes pour se joindre Ă  vous. Cependant, Ă  mesure que le nombre de participants augmente, le risque de d’ĂȘtre opposĂ© Ă  un mauvais joueur de se disputer pour savoir qui est le prochain Ă  jouer augmente mĂ©caniquement. Un apprentissage utile pour apprendre Ă  gĂ©rer les conflits.

11 APPRÉCIER VRAIMENT VOTRE ANNIVERSAIRE
CAKE

Le seul jour de l’annĂ©e oĂč vous ĂȘtes vraiment la reine du bal, c’est votre anniversaire. Ce jour-lĂ , vos frĂšres et sƓurs font un effort particulier pour vous, et vous avez droit Ă  vos plats et votre gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ©s.

12 SAVOIR QUE VOUS SEREZ DÉFENDU HÉROÏQUEMENT

Je me souviens d’une fois oĂč j’ai Ă©tĂ© harcelĂ©e par une fille Ă  l’école parce que je faisais partie d’une famille nombreuse, avec tous les quolibets habituels. J’en ai parlĂ© Ă  ma sƓur et le lendemain, j’étais dans la cour de l’école, avec mes quatre frĂšres et sƓurs aĂźnĂ©s Ă  mes cĂŽtĂ©s. Ce jour-lĂ , toutes les insultes ont cessĂ©.

13 AVOIR UNE RAISON PARTICULIÈRE POUR PROFITER DES VACANCES
PARTY

Dans les familles nombreuses, le mieux n’est pas de partir en vacances dans un endroit spĂ©cial, mais de retrouver enfin ses frĂšres et sƓurs aĂźnĂ©s qui ont dĂ©mĂ©nagĂ© ou qui sont partis Ă©tudier Ă  l’universitĂ©. MĂȘme si cela signifie parfois que vous devez prĂȘter votre chambre, vous ĂȘtes heureux de passer du temps avec votre grand frĂšre ou votre grande sƓur. AprĂšs tout, tout le monde rĂ©uni, la famille se sent au complet.

14 SE RÉJOUIR DES CÉLÉBRATIONS SANS FIN

Entre les mariages, les naissances, les baptĂȘmes et toutes les autres occasions familiales spĂ©ciales, il se passe rarement un mois sans qu’il y ait quelque chose Ă  organiser ou quelqu’un Ă  cĂ©lĂ©brer. Et avec la nouvelle gĂ©nĂ©ration qui grandit, ces occasions se multiplient et sont forcĂ©ment mĂ©morables
 avec de nouveaux petits enfants qui courent partout. Qu’il s’agisse d’un parrain ou d’une marraine, d’un conseiller ou d’une oreille attentive, vos enfants seront toujours entourĂ©s et aimĂ©s par une multitude d’oncles et de tantes (aux opinions parfois divergentes, mais toujours bienveillantes) !

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