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Xavier avait posé son vendredi et ce sont les parents de Charlottre qui sont venus s'occuper des enfants dès la sortie des classes le vendredi soir. Hop, hop, hop, Marcel est toujours prêt pour emmener ses hôtes découvrir le monde !
Soirée cinéma à Grenoble...c'est si rare ! 
Au petit matin du samedi, le spectacle est incroyable. 
Direction le Vercors où la neige et le froid sont arrivés conjointement. 
Nos 2 sportifs ont grimpé la montagne pour aller dormir dans un refuge.
Je n'étais pas bien rassurées de les savoir là en recevant les images de cette purée de pois...pour info, faut-il écrire "purée de pois" ou "purée de poix" ? Il semblerait que l'expression soit d'origine anglaise (pea soup) pour désigner la soupe de pois cassés et non pas la poix ( colle à base de résine et de goudron). 
Bientôt arrivés au gîte !
Jolie photo ! Seuls au monde...un feu dans le poêle pour se réchauffer, le dîner et vite au lit !
Le dimanche, le temps est beaucoup plus ensoleillé
Magique !
Quelle belle idée ce we en amoureux ! Merci pour ces photos de rêve !
A partir de midi, les enfants se perchent devant la baie vitrée pour surveiller l'arrivée de leur grand-père. 
Joie de lui sauter dans les bras !
Le vendredi après-midi, je les ai emmenés dans un magasin( Centrakor) que je savais très riche en déco de Noël. Ils étaient émerveillés !
Dur, dur de ne pas toucher !
Samedi matin, JF les a emmenés au complexe sportif de Kindarena où se déroulaient des compétitions entre collégiens. Les enfants ont adoré ! Durant ce temps, j'étais à Emmaüs pour la grande vente de déco de Noël. Je savais qu'il y aurait beaucoup trop de monde pour que ce soit intéressant pour les enfants. 
Le samedi après-midi, sortie en ville pour découvrir le marché de Noël. Un monde fou, hélas, car on en profite moins. 
Nous avons enchaîné par la messe du soir car JF est maintenant pris tous les dimanches matins par les maraudes avec l'Ordre de Malte. Pauvre Azélie était fiévreuse et a dormi toute la messe. 
Le séjour chez les grands-parents est aussi l'occasion pour les 2 filles de regarder un petit épisode d'Heïdi après leur temps calme. Elles sont aux anges !
Goûter festif autour d'un chocolat chaud, de céréales, d'un bon pain d'épeautre fait maison...
Et puis, terminer le we en jouant avec les crissantes feuilles de l'érable...il est là le bonheur, il et là...
Une jolie petite bouillote pour Lannois. Elles finissent pas couler et j'aime bien en avoir 2 ou 3 pour quand nous sommes nombreux.
Un bien joli pull de Noël pour moi, de qualité, ce qui est plutôt rare. Le rouge n'est pas trop ma couleur mais je peux faire une exception de temps en temps...
Cette boite en métal a déjà trouvé sa place. Elle ira rejoindre l'âtre à Lannois et accueillera en son sein le nécessaire pour allumer le feu.
Coup de ❤️ pour cette théière garnie d'une guirlande de roses. J'en ai plein qui me servent pour le thé mais aussi de vases. 
Je ne sais pas résister aux roses...
Une jolie petite valise. Pour y ranger des jouets ? Des papiers ? Un cadeau à offrir ? 
40 cm de hauteur pour cette Ste Thérèse au doux et léger sourire. Il existe une Vallée des saints en Bretagne et je me demande si vous ne trouverez pas prochainement un jardin des saints à Lannois !
Je vous quitte avec ce passage de l'évangile de St Mathieu (ch 18, v3). Bonne journée !
De petits hérisson en bois.
De lumineuses étoiles.
Une croix en cuivre.
Adorable boite à musique.
Cale-porte en béton. 
Petites étagères en bois habillées. 
Jolies patères. 
Magnifique calendrier de l'Avent dans un vert très doux.
Quelle est belle cette petite couverture tricotée pour bébé ! 
Encore des déguisements de super qualité. 
Jolie sapin de lumière.
De charmants sacs pour les voyages ou les camps. 
Des lingettes démaquillantes et leur pochon.
Boite à bijoux décorée. 
Pareil pour ces flacons d'huile pimentées. 
Mes cabanes à oiseaux peintes à Lannois rendent bien sur ces chaises de jardin ! Trop forte, la photographe !
Autre exemple. 
La chapelle avant restauration.
Repas champêtre organisé en 1985.
Un matin, dans le métro, je sors mon téléphone pour me connecter sur Instagram.
- Canon, les vacances de machine à l’autre bout du monde…
- Trop forte, untelle avec ses enfants… Elle a vraiment la famille parfaite !
- Dis donc, elle s’éclate truc-muche dans son job. Elle en a de la chance !
Il m’a fallu 7 stations soit 15 minutes dans le métro pour me rendre compte que ma vie était toute pourrie. En revanche, celle des autres…
Il faut dire qu’en ce moment, j’en bave. Les enfants sont tout le temps malades. Je passe mon temps à réorganiser mon agenda, à jongler entre les impératifs professionnels et personnels. En parallèle, les travaux de rénovation de notre maison n’avancent pas ; il va encore falloir changer de gîte. Bref, tout prend plus de temps et d’énergie que prévu. Je suis fatiguée, impatiente et frustrée.
– Elle est pas belle, la vie, Pauline ?
– Naaan !! ai-je envie de répondre sur le même ton capricieux que mon gamin de 6 ans.
Bon, passée la vague de mauvaise humeur, force est de constater que ma vie n’est pas si horrible que ça. Je dirai même : au fil du temps, j’ai appris à l’aimer telle qu’elle est.
Réapprivoiser le présent
On a tendance à croire que notre bonheur dépend des autres ou d’un futur hypothétique. Le fameux « Quand je… alors… »
- Quand j’aurai cette promotion, alors je me sentirai enfin valorisée.
- Quand je serai mère, alors je serai enfin comblée.
- Quand les enfants seront plus grands, alors j’aurai enfin le temps de faire ces activités.
Sauf que, dans la « Vraie Vie », ça ne se passe jamais comme ça. À peine un challenge résolu, pof ! Une myriade d’autres prennent sa place.
Le problème est que moins on aime sa vie au présent et plus on fantasme son futur.
Résultat : nous développons des attentes irréalistes sur la vie. Déception assurée !
En cela, les réseaux sociaux n’aident pas non plus : bien souvent, on travestit la réalité pour montrer une version idéalisée de sa vie. Notre cerveau se met alors en mode calculette : plus nous scrollons, plus il note ce qui nous fait défaut. Tout ce qu’on n’a pas (fait, expérimenté, acheté, gagné…), tout ce qu’on n’est pas (mince, intelligente, aventurière…). Cette comparaison excessive est toxique : elle altère notre perception de la réalité et cultive un sentiment d’insatisfaction chronique. Pas étonnant que ça nous mine !
À travers ses recherches, Sonia Lyubomirski, professeure américaine en psychologie, a montré que notre capacité à être heureuse dépendait à 50% de notre patrimoine génétique. Si, par exemple, certaines personnes ont plus de facilité à ne pas grossir et à rester minces pour des raisons génétiques (oui, je suis jalouse), il en est de même pour le bonheur :
nous naissons tous avec une capacité plus ou moins grande à identifier les moments de bonheur.
Quant à nos conditions de vie (si nous sommes riches, pauvres, en bonne ou mauvaise santé…), surprise-surprise : ça compte seulement pour 10% !
Alors, les 40% restants ? Et bien, il s’agit de notre marge de manœuvre.
En d’autres termes, en fonction du regard que nous portons sur les événements (et non des événements en eux-mêmes), nous avons la possibilité d’agir sur notre bonheur et donc… d’aimer davantage notre vie telle qu’elle est 😉
En revanche, plus nous interprétons ce qui nous arrive de manière négative, plus nous renforçons notre perception que la vie est injuste, difficile ou décevante.
Comme dirait mon bon pote Sénèque : « La vie, ce n’est pas attendre que l’orage passe, c’est apprendre à danser sous la pluie. »
Alors oui… Mais comment ?!
De la gratitude, encore et toujours !
Roooh… de la gratitude, que c’est gnan-gnan !
Et pourtant.
Si je prends le tunnel quotidien du 18h-21h, il s’apparente à un bloc cauchemardesque. Entre Maxime qui hurle parce qu’il ne veut pas faire ses devoirs, Clément qui pleure parce qu’il ne veut pas manger ses légumes, moi qui crie 15 fois « À taaaaaaaaaable !! Tu t’es brossé les dents ?! Ton pyjama, TON PYJAMA » ! – tout ça sur fond de chamailleries incessantes – il y a de quoi détester les fins de journée.
Mais, alors que la tornade sévit bruyamment à la maison, surgissent quelques instants absolument magiques :
- Clément me montre un dessin super rigolo. Il me l’explique de sa petite voix candide.
- Maxime affiche fièrement un grand sourire édenté, la petite souris est passée par là.
- Le câlin du soir dans le lit durant lequel j’ai envie d’absorber leurs petits corps tout chauds et tout doux collés contre moi.
Magiques !
Cultiver la gratitude, c’est ça ! C’est apprendre à saisir ces petits moments du quotidien qui sont source de grâce, de joie et de douceur.
C’est, durant ces instants-là, faire preuve d’humilité par rapport à tout ce que l’on a déjà.
Enfin, c’est se rendre compte que chaque situation a ses inconvénients et ses avantages. Que tout n’est pas pourri (vision erronée) ou génialissime (relève du fantasme).
Je sors tout juste d’une période où mes p’tits gnomes ont été malades un mois non stop. 11 visites chez le pédiatre (il a dû croire que je le draguais). Inconvénients : la charge émotionnelle était intense et j’ai pris du retard sur plein de choses. Avantages : j’ai levé le pied, fait la sieste tous les jours et partagé de beaux moments de complicité avec mes petits malades.
Cette période a-t-elle été facile ? Clairement pas. Pour autant, a-t-elle été horrible ? Non plus.
Prendre le temps de reconnaître ce qu’il y a de bien dans les périodes d’adversité ne veut pas dire positiver coûte que coûte. Mais muscler notre capacité à faire preuve d’objectivité nous permet de mieux apprécier notre vie au quotidien.
Ainsi, les gens heureux ont tendance à interpréter les moments dans leur vie et les situations quotidiennes de telle manière à ce qu’elles contribuent à leur bonheur…
Façon de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide 😉
Prendre soin de soi !
2ème piste indispensable pour mieux vivre sa vie au quotidien – et sans conteste, la plus difficile !
J’avoue, dans nos quotidiens survoltés où nous courons dans tous les sens, c’est compliqué de garder du temps pour soi… SANS CULPABILISER ! Et pourtant, si on ne le fait pas, personne ne le fera à notre place.
Personnellement, j’ai trouvé cela très dur de devenir maman. J’avais beau le savoir, je n’étais pas préparée à ce que ce nouveau rôle envahisse les moindres recoins de ma vie. Il m’a fallu du temps pour comprendre que si je ne prenais pas soin de moi, si je ne m’octroyais pas du temps, je risquais de passer à côté de cette étape laborieuse, mais ô combien merveilleuse dans la vie : être parent.
S’imposer de prendre une babysitter régulièrement, s’imposer de déléguer certaines tâches à son conjoint, une aide à domicile ou un proche – juste pour marcher, dormir, danser, jouer, écrire, cuisiner, bouquiner, boire un bon café (ou aller tranquillement aux toilettes).
Toutes ces petites actions sont source de bonheur, mais passent souvent à la trappe. Or, ce sont de véritables bulles qui nous ressourcent et nous permettent de capter ces instants fugaces où l’on est bien, juste bien. Gratitude !
Se couper (un peu) des réseaux sociaux
Les réseaux sociaux, c’est un peu ma bête noire ! Au-delà du temps qu’on perd à scroller (52 minutes en moyenne par jour en France, selon une étude Médiamétrie de 2022), on se sent souvent moins bien après qu’avant d’avoir commencé !
Sans m’en rendre compte, je me suis progressivement déconnectée des réseaux sociaux à titre personnel. Plus de comparaison excessive, plus de FOMO (Fear Of Missing Out – cette crainte de passer à côté de tout) : j’ai gagné en sérénité et en gratitude.
Mieux : ça m’a permis de me tourner davantage vers les autres, de cultiver des liens de qualité qui me nourrissent réellement.
Aimer sa vie telle qu’elle est ne veut pas dire tout supporter
En effet, on a le droit de vouloir que certaines choses dans sa vie changent – et tant mieux !
Pendant longtemps, j’ai eu l’impression de subir ma vie. Je n’aimais pas mon job, je vivais à 200 à l’heure, je compensais mon mal-être par des sorties resto, vacances exotiques, chaussures et vêtements. Une sorte de fuite en avant perpétuelle jusqu’au jour où j’ai eu ma prise de conscience écologique. Tel Archimède dans sa salle de bain : Eurêka !
J’ai enfin réalisé pourquoi je ne me sentais pas à ma place. Cette compréhension m’a permis de bifurquer : je me suis reconvertie pour devenir coach en écologie intérieure. Un changement majeur qui en a amené plein d’autres.
Facile ? Non. Confortable ? Non plus. Source de sens ? Carrément !
Savoir ce qui est réellement important pour moi, qui fait sens et remet de la perspective dans mon quotidien, c’est essentiel ! Car, dans 20 ans, je ne me souviendrai pas des détails de cette période compliquée, mais plutôt de ce qu’elle m’aura apporté et de tout ce que j’aurai construit.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille, mais elle est belle… au quotidien !
Ce texte nous a été transmis par une fabuleuse maman, Pauline Dumont.
Porte.
Avant et après. Il est possible de peindre sur le mélaminé car le produit se passe en 2 parties: une base accrochante puis la peinture.
Il existe plusieurs teintes.
Exemple ici.
Et puis encore ici. Un badigeon est une peinture très diluée...mais anti-gouttes !
Et j'enchaîne sans aucune transition sur divers petits achats de chez Emmaüs. Adorable petite cloche. 1€.
3 toutes petites casseroles en cuivre pour la dinette. 1€.
Tout petit aussi, ce compotier pour dinette. 0,50 c.
Là, par contre, ce n'est pas tout petit mais tout grand. Environ 40x 60 pour ces curieux plats très lourds en procelaine blanche. Ils sont anciens et je me demande bien à quoi ils pouvaient servir car ils sont assez plats...et tellement lourds ! A être encastrés ? Qui aurait une idée ? Je me demande bien encore ce que je vais en faire mais je n'ai pas résisté devant cette originale aubaine qui ne m'a couté que 3€ x 2. Au pire ils iront dans le jardin pour accueillir des plantes grasses. Au mieux...j'attends vos idées ! 
Bien agréable de décorer ces personnages de tous pays ! 
Même chose de dos pour que le travail soit mieux fini. 
Seul arrêt programmé, cette minuscule mercerie située au 65 rue Réaumur qui est, parait-il une formidable adresse pour les couturières. Franchement, ça ne paie pas de mine...Bénédicte y trouve son bonheur et nous devisons agréablement avec les 3 vendeurs qui sont, Réunionnais pour l'un, Mauricien pour le deuxième et de Rodrigues pour le dernier. Voici l'Océan Indien bien représenté ! Quant à la caissière, elle est Brésilienne ! 
Quelle surprise de passer sous cette enseigne !
Puis devant celle-ci qui me fait forcément penser au fourgon de Xavier et Charlotte du même nom !
Mi-novembre à Paris et déjà beaucoup d'illuminations. C'est un vrai bonheur, même sous la pluie !
Avec mon amie Bénédicte, nous continuons d'arpenter la ville après la pause déjeuner. Dans les vitrines des chocolatiers, c'est à celui qui présentera le calendrier de l'Avent le plus joli. 
Ce n'est pas donné...mais ça peut resservir !
La boutique Lindt brille de 1000 feux...entrons !
Des chocolats au kilo...
Belle exposition ! Très sages, nous n'achetons rien et partons découvrir les vitrines du Printemps et des Galeries Lafayette.
On reste dans les chocolats puisque c'est Ferrero qui sponsorise !
Cette année, les oiseaux sont mis à l'honneur. 
C'est beau.
Comme c'est léger !
Oiseaux exotiques hauts en couleur.
Traditionnelle cigogne. 
Des piles de lettres de voeux.
En voici de bien jolis.
L'air de rien, savoir intégrer quelques objets à vendre au milieu des oiseaux...tout un art !
Il a plu toute la journée ! Trempée pour me rendre à la gare, trempée durant les 2 heures de visite, trempée le reste de l'après-midi en se baladant dans Paris...dur, dur !
Nous découvrons la rue St Dominique, le boulevard de la Tour-Maubourg, la rue de Grenelle et, au 147, cette charmante petite église luthérienne dédiée à St Jean. Coincée entre des immeubles, elle a néanmoins conservé un adorable jardin (square Denys Bülher) et quelques maisonnettes dont une à colombages. 
Ainsi, cette verrière adossée à une des petites maisons envahies de végétation. 
Nous sommes à 2 pas de la Tour Eiffel que nous apercevons, auréolée de nuages gris. Le quartier est encadré par les Invalides et le Champ de Mars. Ce fut longtemps un quartier où vivaient les ouvriers occupés à la construction de l'Hôtel des Invalides, du Palais Bourbon, de l'école militaire...On y trouvait aussi une des plus grandes usines de Paris, la Manufacture de tabac, fermée en 1902. 
Juste en face, de l'autre côté du square, l'immeuble construit par l'achitecte Jules Lavirotte et où il s'était installé. Quelle recherche !
Derrière l'immeuble de Jules Lavirotte, donnant sur l'avenue Rapp, cette réalisation du même architecte pour laquelle il a remporté le 1er prix de concours de façades en 1901. Un incroyable immeuble Art Nouveau avec ses sculptures, l'utilisation de grès flammé, ses riches balcons, sa porte aux volutes de bois...Admirez tous les détails ! On appelle ça aussi "le style nouille", ce qui n'est pas très flatteur mais tellement imagé ! Il est caratérisé par ses courbes, ses motifs floraux, ses arabesques...
Alliance de la pierre et du métal. 
Pourquoi des chevaux? Il y avait forcément une raison.
Autre exemple d'un immeuble richement travaillé. J'ai appris qu'un immeuble haussmannien devait obligatoirement comporter 6 étages. 
Derrière de lourdes portes cochères...qui accueillaient donc des voitures et des cochers, ce qui explique la taille des passages, Delphine, notre guide nous fait découvrir de jolies cours. Très souvent, la concierge surgissait pour nous enjoindre de déguerpir, ce qui n'effrayait pas Delphine, habituée à ce genre d'accueil. D'ailleurs, je constate que bon nombre de concierges sont encore portuguaises.
Nous poursuivons la visite en empruntant quelques superbes passages couverts construits à la même époque pour y abriter des commerces. Que c'est beau !
La visite s'achève à l'église de St Pierre du Gros Caillou. Autant l'extérieur est incroyablement massif, de style néo-classique, autant l'intérieur est clair et spacieux. Elle ne date que de 1822 car la précédente n'avait pas encore été achevée qu'elle fut détruite à la Révolution...