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C'est ce qu'on appelle communément un oignon..allez savoir pourquoi ! Le mien n'était pas hyper proéminent mais il frottait dans mes chaussures quand mon pied gonflait.
JF n'étant pas là, c'est une amie qui m'a accompagnée et qui est revenue me chercher. Que ferait-on sans amies ?
Incroyable...l'intervention ne dure guère plus de 15 mn. Anesthésie locale (4 piqûres). Heureusemnt que j'avais des écouteurs sur les oreilles (chansons françaises) car je percevais néanmoins qu'on me tirait fortement sur le pied pour m'enlever des bouts d'os. J'entendais aussi la scie qui me coupait l'os...mais le plus pénible, finalement, ce sont les différentes piqûres, d'autant plus que les infirmières ont toujours beaucoup de mal à me trouver une veine correcte.
Ouf, on ne s'est pas trompé de pied ! Remarque, ça n'aurait pas été bien grave puisque je dois faire le pied gauche aussi.
Mon amie Jacqueline me ramène à la maison. Malgré son aide, j'ai eu un mal fou à monter les escaliers avec mes béquilles...Heureusement qu'un voisin de passage est venu pour me soutenir !
Me voici équipée. Une paire de chaussures très souples qui s'ouvrent complètement. Pas sexi mais terriblement pratique. Grâce à elle, je peux marcher. De temps en temps, je porte la chaussure de droite avec bloc de glace intégré pour la séance de cryothérapie qui permet de diminuer l'inflammation du pied. Vive la bonne prise en charge des soins en France !
Et je suis bien entourée par mes amies qui s'occupent de moi et me gâtent ! 
Près de Saintes, mariage de Quentin et Cassandre le 19 septembre. Quentin est le fils de Catherine et Dominique V. Ici avec leurs 4 garçons (Thibault, Rémy, Quentin et Thimotée), leur fille Clarisse et leurs 2 petits-enfants.
Mariage civil de Xavier et Albane avant le mariage religieux de samedi prochain dans l'Oise. Xavier est le fils de Clotilde et Pierre W.
Mon amie Evelyne (celle qui me met presque chaque jour un gentil commentaire, qu'elle soit bénie ! :)), à droite sur la photo, en vacances près de Lannois. Ici, à Rozven, près de St Malo devant la maison où Colette passait ses vacances.
Délicieuse photo (Evelyne) d'un goûter pris sur la plage de Cancale...j'adore !
C'est sûr, le thème des photos est peu varié...
Toutefois, vous pouvez vous amuser au jeu des 7 erreurs ! Il existe sûrement des différences entre ces 2 photos ! Vous remarquerez dans le parc de l'hôtel les barrières de sécurité que les clients de l'hôtel ne doivent pas dépasser lors de leur promenade quotidienne sous surveillance. J'ai l'impression de parler d'un détenu en prison...
Il faut dire que les images vont dans ce sens ! Le parc de l'hôtel est cloturé par de multiples barrières jusqu'à l'arrivée ultime à la plage. Au loin 2 petites îles, l'île aux canards et ?
Photos ci-dessous prises lors d'une promenade. Son hôtel, le Royal Château.
La plage est juste là.
Un banian et ses racines aériennes.
JF a la chance d'avoir une grande terrasse et la visite drégulière et intéressée d'un monarque brun, oiseau commun à Tahiti aussi.
Splendide ! 
Idem à la tombée de la nuit !
Le jour de son anniversaire, l'hôtel lui a offert un bien joli gâteau ! Sympa !
Nos enfants lui ont fait livrer aussi un dessert et une grande pizza...qu'ils sont mignons !
Chaque matin, le journal local lui est déposé devant la porte en même temps qu'un petit déjeuner frugal (sachet de café en poudre, morceau de pain, plaquette de beurre). C'est ainsi qu'il a appris qu'un cinéma en plein air se tenait parfois sur la grande place de Nouméa. Que n'aurait-il donné pour pouvoir y assister !
Direction le château d'Etelan qui date de 1494, tout de même...de style gothique flamboyant, il fut précurseur de ceux de la vallée de la Loire et accueilli d'illustres visiteurs: Catherine de Médicis, François 1er, Voltaire, Gustave Eiffel...
Le château a la particularité de dominer la Seine que l'on devine à la limite des champs, tout là bas...Aucun poteau électrique, aucune maison...quel luxe ! Et, lors de l'Armada, quand les navires remontent la Seine vers le Havre, on aperçoit les hauts mâts émergeant des parairies !
Après avoir subi moultes vicissitudes, le château brûlé, presqu'en ruines a été racheté par un couple en 1974. Année après année, ils ont relevé les murs, refait le toit, repris chaque pièce et nettoyé le parc. Ce sont maintenant leurs 3 enfants qui entretiennent les lieux. Il faut être fou pour se lancer dans une telle aventure ! Un des enfants, la soixantaine bien sonnée a mené la visite. Il était passionné...donc passionnant. 
La chapelle est dite royale puisqu'ella a reçu en son sein des têtes couronnées. C'est amusant de retrouver ici (comme à Blois) le symbole rattaché à Louis XII, à savoir le porc-épic.
rès bien conservée, la chapelle recèle quelques trésors, comme cette Vierge dont l'Enfant-Jésus s'amuse avec son téton.
Le château n'est pas immense et il a brûlé en 1940, non pas sous les bombes mais à cause d'un feu de cheminée. La Kommandantur était installée ici et il faisait si froid durant cet hiver que le Kommandant a allumé un grand feu en l'alimentant avec du schnaps ! 50 ans plus tard, conduit par sa petite-fille, il est revenu sur les lieux pour rencontrer les propriétaires, demander pardon et donner des détails sur l'incendie et la vie du château durant cette brêve occupation ! incroyable...
Quand le château a brûlé (en partie), la Kommandantur a quitté les lieux et les gens du village sont venus récupérer les meubles pour les mettre à l'abri chez eux. Quand l'actuel propriétaire a fait le tour des maisons pour demander à récupérer les meubles...bizarrement, il n'y en avait plus trâce nulle part ! Il a donc fallu tout racheter, à l'image de ces belles indiennes.
Quelques pièces sont réservées à la partie musée avec de jolies mises en scène.
Une sorte de terrasse a été aménagée sur le côté du château. Bien agréable pour y déjeuner.
Quelques pierres, plantes, objets décoratifs...
En contrebas, une charmante allée ornée d'un gracieux rosier offrant une guirlande de cynorhodons conduit au jardin.
Jradin plutôt décevant, surtout après un été bien sec. Le parc, par contre, possède quelques arbres remarquables, même si la tempête de décembre 1999 a mis par terre 800 arbres ! Une grande allée herbeuse de 800 mètres permet aux cavaliers de s'élancer vers la forêt.
Le soleil, le charme des châteaux renaissance...vive les journées du patrimoine !
Joyeux anniversaire à JF du bout du monde ! Fêter ses 60 ans tout seul, enfermé comme un pestiféré dans une chambre d'hôtel à Nouméa...voilà qui n'est pas banal ! Heureusement, j'ai pu lui offrir son cadeau quand nous étions encore à Lannois...cadeau réalisé à 8 mains: celle de Rémi, d'Henri, de ma soeur Claire et de moi-même !
Mais qu'est-ce donc ? Des planches de bois découpées et peintes par Henri et Rémi. 
Claire étant sur place à ce moment là, elle m'a aidée à écrire sur les différents panneaux.
Voici toutes nos affectations, dans l'ordre chronologique et la distance qui nous sépare d'elles quand nous sommes à Lannois !
Bravo à Rémi et Henri d'avoir réussi à monter ces pancartes, solidement et dans la bonne direction !
Le pied solidement ancré dans un socle en béton, du goudron pour que le béton n'attaque pas le bois...et voilà notre piquet d'orientation qui ne bougera pas dans la rocaille. 
D'un côté la ville, de l'autre le département.
Les pancartes s'orientent vers le sud pour la plupart...de Lannois, ce n'est pas étonnant, non plus !
Notre cadeau a belle allure ! Par contre, comment ferons-nous si nous devons ajouter une nouvelle destination ?
L'idée de ce cadeau m'était venue lorsque nous pélerinions vers St Jacques de Compostelle. Régulièrement sur le chemin, des panneaux multiples nous faisaient rêver à d'autres terres lointaines...
Nous voici en automne, un automne qui ressemble bien encore à un été indien dont on ne se lasse pas. Les lumières sont douces, embellissant la moindre scène de la vie quotidienne. Et moi je rends grâce de ne pas me lasser de ces humbles joies.
Charme des roses fanées se penchant mollement, tout en délicatesse. Harmonie de teintes usées mises en valeur par un vase mercurisé.
Une flêche de soleil sur un fauteuil ancien. La rondeur de ses courbes, le moelleux des vêtements de poupée...tout incite à la paresse.
Nature morte gracieuse et alanguie. 
Flamboiement, exaltation des roses et des rouges bousculés par du blanc incongru.
Fabuleuse nature dont la palette d'ocres ne connaît pas de limites.
Incroyable vision d'une Chevrolet dans son jus et dont la rouille chatouille naturellement l'oeil du photographe incrédule.
Le bonheur se cache dans les détails...pourquoi pas dans un grain de raisin fripé et sucré posé sur une assiette fleurie ? 
Dans le parfum d'un biscuit tendre et savoureux ? 
Dans des fagots de légumes craquants et colorés ?
Fondée il y a un an, Entoureo est une start up qui propose d’accompagner les familles grâce à un coffret permettant de recueillir la parole des aînés pour en faire un livre-mémoire.
EntoureoKevin Lamberton (à gauche) et Thomas Delage (à droite) sont les fondateurs d'Entoureo.
L’objectif est « d’aborder tous ces sujets dont on ne parle pas assez, de prendre le temps », poursuit le jeune entrepreneur. « C’est venu d’une expérience que nous avons vécue au même moment, Kevin et moi. Il y a cinq ans, nous avons perdu nos grands-pères. Le mien est décédé à 80 ans. J’allais déjeuner chez lui le dimanche, je passais toutes mes vacances chez lui. Je me suis rendu compte qu’il y avait plein de choses que je ne connaissais pas sur lui, comment il a rencontré Mamie par exemple. J’ai découvert beaucoup de choses sur lui le jour de son enterrement ». Cette expérience commune leur donne une impulsion. La transmission sera leur cheval de bataille. Constatant que les familles ne préservent pas toujours bien leur histoire et que la mémoire orale tend à disparaître, ils créent Entoureo.
Dans l’utilisation que nous faisons de la technologie, nous sommes un support du lien social mais nous ne le remplaçons pas.
Certains pourraient riposter que pas besoin d’un service de ce type : le livre, ils peuvent très bien l’écrire eux-mêmes, et nul besoin de technologie pour cela. « Dans l’utilisation que nous faisons de la technologie, nous sommes un support du lien social mais nous ne le remplaçons pas », souligne Thomas Delage. « En France, 60% des plus de 60 ans ont envie d’écrire leur vie. Entre 7 et 10% le font vraiment. Pour certaines familles, c’est une montagne. Nous nous sommes rendu compte que certaines d’entre elles passaient par des biographes familiaux. Or, ce sont des services qui prennent du temps et qui sont assez chers ». Certaines familles veulent se lancer d’elles-mêmes dans l’aventure, mais les notes ne sont pas toujours mises en commun et les meilleures volontés peuvent se décourager devant ce qui apparaît parfois comme le rocher de Sisyphe.
EntoureoDenise raconte son histoire.
Florent, 29 ans, consultant à Paris, a testé Entoureo avec son père Christian, 80 ans. « J’ai réalisé en entendant parler de la boîte que je connaissais grosso modo le parcours de mon père, mais pas les expériences qui l’ont façonné », témoigne-t-il auprès d’Aleteia. S’il avait déjà pensé à faire raconter son histoire à son père, la tâche lui semblait titanesque. « Tout seul, je n’aurais pas su comment m’y prendre. Je pensais que j’allais devoir écrire un livre », commente-t-il.
C’est à la fois un cadeau pour le proche et pour toute la famille. On grave la mémoire de la personne âgée mais aussi celle de toute sa famille.
Même si certains aînés commencent à écrire leurs mémoires, beaucoup ne vont pas au bout du projet ou n’osent pas l’imprimer, « alors que la matière brute est formidable », déplore Thomas Delage en regrettant « l’auto-censure » qu’ils peuvent s’infliger, doutant de l’intérêt qu’ils susciteront. « L’idée, c’est que toute les générations puissent y trouver leur compte. C’est à la fois un cadeau pour le proche et pour toute la famille. On grave la mémoire de la personne âgée mais aussi celle de toute sa famille ». C’est d’ailleurs ce qu’a expérimenté Florent. « Je n’ai pas un besoin immodéré de faire des recherches sur mes origines mais je trouve cela hyper intéressant ». Il pense également à ses futurs enfants et se réjouit de pouvoir leur proposer un support le jour où ils auront des questions sur leur histoire familiale. « Il y a un vrai truc de l’ordre de la transmission », s’enthousiasme-t-il.
Au fil des échanges avec son père, il a découvert que sa grand-mère, qui était guadeloupéenne, avait pris le bateau à 18 ans direction la métropole à la fin des années 1920 avant de débarquer en Normandie. « Ce sont des choses qui sont incroyables. Il y a des sujets que je n’avais jamais abordés avec mon père. Il m’a parlé des échanges de tirs dans les rues de Paris pendant la guerre d’Algérie. Cela a été un côté chouette de l’aventure, de voir l’histoire de France à travers son histoire ».
EntoureoDans chaque livre, une historie de vie unique.
En effet, au-delà du résultat, l’expérience Entoureo est une occasion de passer du temps ensemble. « On a un prétexte pour ramener la famille à visiter plus souvent les grands-parents », affirme Thomas Delage. Les familles qui viennent vers eux sont « de tous les styles, avec tous types de situations », et portent des valeurs « de transmission, de tradition, de partage ». L’histoire des grands-parents, c’est aussi l’histoire d’un pays et d’une époque. « Ce sont des témoignages hyper précieux », s’exclame le co-fondateur avec énergie. « Dans cinq ou dix ans, il n’y en aura plus. Nous avons déjà plusieurs centaines d’heures de discussion enregistrées. J’ai fait des enregistrements avec mon grand-père maternel et cela a éclairé certains comportements et changé mon regard sur lui. Maintenant, je comprends mieux. Cela a vraiment transformé ma relation avec lui : c’est puissant ». Leur prochain objectif ? Se développer et accompagner rapidement plusieurs milliers de familles.
Pour situer la Nouvelle Calédonie. Comme la Polynésie, à près de 5000 km au nord est, cet archipel se trouve dans l'océan Pacifique. Environ 2000km de l'Australie (Sydeny) et pareil pour la Nouvelle Zélande.
Super appartement comprenant 2 chambres, sdb et cuisine. 
Pas mal ! 
Chaque appartement possède un balcon. Celui de JF donne sur la mer, l'anse Vata et la piscine.
Vue, le 1er matin. Pas de soleil...c'est pour qu'il est moins envie de sortir !
Pas de cas de covid en Nouvelle Calédonie. Les seuls répertoriés concernaient des passagers en quarantaine. Grâce à cela, les heureux Calédoniens se promènent sans masque! 
JF prend ses repas dans sa chambre. Ces mêmes repas sont déposés devant sa porte pour éviter tout contact. 
Trop drôle ! On se croirait dans le Puy de Dôme !
Quelques photos des balades du We dernier dans la campagne seinomarine.
Nous ne nous sommes pas dirigés vers la côte mais vers le sud est du département.
2 fleuves passaient par ici: la Seine et l'Eure.
Azélie fait quelques pas mais ça manque encore d'assurance !
Des grands-parents heureux.
Il faisait très chaud...Tim et Zénaïde n'ont pas pu résister !
D'autres, moins téméraires assistaient au spectacle.
Petite sirène.
Le dimanche, balade en forêt de Roumare, près de Rouen.
Auréole de lumière.
De mères en filles.
La vie est douce dans le 76 !
Arrivés à Paris, notre hôtel (chambre réservée) affiche "fermé" ! Il nous est demandé de nous diriger vers un autre hôtel à quelques pas de là. Chance, nous sommes surclassés et déposons la grosse valise de JF dans une chambre **** !
Pas le temps de profiter de notre jolie chambre, nous filons chez Rémi qui habite dans le même quartier de la gare St Lazare. Je découvre enfin sa super colocation avec des airs d'auberge espagnole. Nous y retrouvons Henri, un des colocataires, puis plus tard Louis. Nous ne verrons pas le dernier, absent ce soir là. L'appartement, plutôt bizarroïde est très haut de plafond ce qui permet d'accueillir des lits ou de simples matelas en mezzanine. C'est ainsi que les hôtes de passage peuvent trouver ici un gîte convivial. L'immeuble est magnifique, possède 2 cours en enfilade et, au bout, un charmant jardin. Rémi, en RDC a donc la chance d'avoir les fenêtres qui ouvrent sur la verdure et accès direct au jardin. Génial pour le chat Philibert ! Rémi nous a concocté un délicieux repas: tournedos de canard, légumes variés, crumble aux pommes, glaces délicieuses...un régal !
A Roissy, certains volontaires pour Noumea sont là sans leur attestation PCR, attendant désespérement le résultat qui doit arriver sur leur téléphone...quelle angoisse ! Je ne sais pas combien sont rester sur le carreau, faute de résultats parvenus à temps. Les volontaires (issus de la Fonction Publique) viennent de toute la France. Certains sont venus se faire tester à Paris dans le laboratoire requisitionné par le ministère, de peur de ne pas pouvoir partir. Quelle pagaille !
Autre japonais en partance dans le même avion que JF puisque celui-ci, avant d'atterrir à Nouméa va faire escale à Tokio. 25 heures d'avion...encore plus long que pour Tahiti ! 9 heures de décalage horaire. Quand il est minuit à Paris, il est déjà 9h du matin, le lendemain à Nouméa.