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Carpe Diem
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21 avril 2021

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 Ce n'est pas encore Byzance mais j'arrive, avec de la patience à télécharger quelques photos...IMG_8494 JF me réveille un matin car une biche s'est aventurée jusque devant la terrasse ! Il a eu le temps de prendre quelques photos du charmant intrus avant qu'il ne s'enfuie. 

IMG_8760 Re-belote quelques jours plus tard et c'est moi qui découvre le spectacle en tirant mes rideaux. La biche est attirée par les graines pour les oiseaux qui tombent du réservoir.

IMG_8763 De plus près mais, dès que j'ai tenté d'ouvrir délicatement la fenêtre, la biche a pris la fuite. C'est sans doute elle qui grignote l'écorce de nos plants de groseillers...Pourquoi donc est-elle toute seule ?

D'ailleurs, ce n'est peut- être pas une biche mais un chevreuil... Rémi, tu dois bien savoir ça, maintenant que tu as obtenu brillament la semaine dernière ton permis de chasse ?

Pour info, le magnifique arbre couvert de grappes de fleurs blanches porte le nom de prunus Padus.

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20 avril 2021

Incroyable !

IMG_8302Incroyable mais vrai...j'ai enfin réussi à vous poster une photo !  Parce que je suis maintenant toute seule à Lannois et que je ne partage la connexion avec personne ? 

 

15 avril 2021

A Lannois

Impossible de vous envoyer des photos...c'est très pénible mais rien à faire. Désolée...j'espère que ça ira mieux la semaine prochaine quand il y aura moins de monde à se connecter mais je finis par en douter...Sinon il faudra attendre mon retour à Rouen dans 10 jours.

8 avril 2021

Pâques

 Connexion vraiment très mauvaise à Lannois...impossible de vous poster un message sans y passer des heures...j'ai l'impression que ça ne s'arrange pas avec le temps...bref, avec en plus une maison bien animée, vous risquez de ne pas souvent me voir par ici.

IMG_7686 Au matin de Pâques, lever avant l'aurore pour assister à ND de Dinard à la vigile habituellement célébrée la veille de Pâques. Avec le couvre feu, bien des paroisses ont choisi de ne pas célébrer l'office le samedi à 17h mais le dimanche avant le lever du soleil. Très belle idée !

IMG_7687 A 6h30 il y a foule dans l'église ! Je ne m'attendais pas à une telle affluence et j'en suis bien heureuse. L'office, commencé dans les ténèbres s'éclaire peu à peu et c'est très fort. A 8h30, quand nous quittons l'église, le soleil brille et la vue sur la mer est sublime ! 

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 Impossible de charger d'autres photos, c'est rageant. 

Beau temps de Pâques à chacun !

 

7 avril 2021

Anniversaire

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Très belle journée d'anniversaire à Lannois, ma petite Héloïse ! 

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5 avril 2021

Accoucher à la maison

 

Dans le prochain "famille chrétienne", un article sur l'accouchement à domicile avec le témoignage de notre Pauline et de Timothée ! Trop fière...

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Accoucher à la maison : le choix d'une naissance différente

S'il est courant d'accoucher chez soi dans des pays voisins comme les Pays-Bas ou la Grande-Bretagne, cette tendance est très minoritaire dans notre pays. Elle est cependant en hausse : les quelque quatre-vingt sages-femmes qui accompagnent l'accouchement à domicile en France sont débordées... Enquête auprès de ces mamans qui font le choix d'une naissance différente.

Un désir de liberté

"Je voulais accoucher libre", affirme Marie. L'histoire commence souvent (mais pas toujours) par une première naissance à l'hôpital, mal vécue par la maman, qui se sent dépossédée de son accouchement. Cette jeune mère de deux petites filles avait déjà envisagé d'accoucher à la maison pour la première naissance, mais une grossesse pathologique l'en avait empêchée. "J'ai eu le sentiment d'être asservie à des protocoles. Comme si mon corps était un ordinateur bien ou mal programmé. La poussée ? 30 minutes. La position ? Allongée, au mieux sur le côté – une abherration lorsque l'on sait que, sur le dos, le bébé et la maman doivent lutter contre la gravité pour que la naissance ait lieu... À l'hôpital, la naissance est organisée pour le confort du médecin, pas pour celui de la femme qui accouche." Pauline, maman de trois enfants dont le dernier est né tout récemment à la maison, compare : "Sous péridurale, pour mon premier accouchement, j'ai tout subi, comme si j'avais rendu les armes. Cette fois, j'ai vraiment eu l'impression d'avoir accouché et non pas d'être accouchée."

"L'accouchement à domicile est souvent l'occasion de réparer une blessure qui a eu lieu lors d'un précédent accouchement à l'hôpital", indique Julia, sage-femme. À la maison, la maman peut adopter la position qui lui convient, en changer quand elle le souhaite, et même accoucher dans l'eau. Elle peut manger et boire à volonté, et prendre ainsi les forces nécessaires à l'effort physique et moral extraordinaire qu'elle vit. Pas question non plus de temps-limite à respecter, du moment que le bébé va bien. Cela implique bien sûr le choix d'une naissance physiologique, sans anesthésie péridurale – ce qui séduit de plus en plus à l'heure où l'on cherche à retrouver le sens de la nature. La femme peut ainsi être pleinement actrice de son accouchement, avec, pour résultat, une prise de confiance en soi, en sa féminité et en sa maternité : "Je me suis sentie sur-puissante" affirme Pauline. "Maintenant, je sais accoucher ; je sais comment, moi, j'accouche, témoigne Yolaine, qui vient d'accoucher à domicile après deux précédentes naissances en maternité. J'ai appris que j'étais enceinte, pas malade. Notre grossesse n'appartient pas au médecin."

La naissance d'une maman

Ce choix s'inscrit donc, certes, dans le mouvement d'empowerment actuel des femmes, qui veulent s'affranchir de la tutelle médicale dans tout ce qui concerne leur fécondité. Mais pas seulement. Lorsque cette décision est prise suite à une précédente naissance hypermédicalisée et mal vécue, il est nécessaire de la ressaisir comme un choix positif : comme une manière plus humaine, plus intégrale, de vivre la mise au monde.

"Nous l'avons vécu comme un beau moment de couple, confie Pauline, dans l'intimité." Pour Marie, "ce n'est pas seulement la naissance d'un bébé, c'est aussi la naissance d'une maman. Durant l'accouchement, on est pris dans quelque chose qui nous dépasse, physiquement et moralement. Pour le vivre, je voulais être dans un environnement intime, rassurant, entourée de personnes que j'avais choisies, dans lesquelles j'avais confiance et qui respecteraient mes désirs, ma pudeur, mes convictions. Ce n'est pas seulement un acte physiologique : c'est un acte humain."

Et même un acte spirituel, comme en témoigne Yolaine, qui a vraiment pu vivre cet accouchement "comme une prière, de A à Z" : du matin, où elle a eu l'intuition que "c'était pour aujourd'hui", à l'action de grâce, au coeur de la nuit, à genoux au pied du coin prière familial, lorsque tout était fini.

Au service de la femme qui accouche

Les sages-femmes qui accompagnent l'accouchement à domicile (dont la plupart se sont regroupées au sein de l'Association Professionnelle de l'Accouchement Accompagné à Domicile : l'APAAD) le font par vocation. En France, au moindre faux pas, elles risquent leur carrière. Elles se mettent véritablement au service de la femme qui accouche : "Je dois beaucoup me baisser, adopter parfois de drôles de positions, mais c'est mon travail", raconte Virginie, amusée. "L'accouchement n'est pas un acte volontaire : le corps le fait tout seul, sans qu'on le lui ait appris." La sage-femme est simplement là par sécurité, pour vérifier que tout se passe bien ; elle intervient seulement si ce n'est pas le cas.

Pour la maman donc, nul besoin d'envisager un parcours d'apprentissage très technique. Simplement, comprendre ce qui se passe dans son corps lui permettra, au moment de la naissance, de trouver des repères qui vont la rassurer, et d'aider le travail à se faire. Il est aussi fondamental d'être en confiance avec sa sage-femme. "Pour ma deuxième grossesse, j'avais déjà pensé à accoucher à la maison et j'avais rencontré une sage-femme, mais je ne m'étais pas sentie à l'aise", se souvient Yolaine. Pour sa troisième grossesse, elle a sauté le pas, accompagnée par une autre personne. Elle précise : "Même sans grand feeling au départ, la naissance a scellé une vraie amitié entre cette sage-femme et moi." Vivre ensemble un tel événement ne laisse pas indemne. Marie se rappelle : "Au moment où je me désespérais, j'ai été portée par ses encouragements et ceux de mon mari. Plus tard, pendant qu'elle me prodiguait les soins nécessaires après l'accueil du bébé, nous avons longuement bavardé, avec un naturel et une intimité que je ne réserve en général qu'à mes amies les plus proches."

Le papa : un rôle privilégié

Si certains papas se montrent réticents à ce que l'accouchement ne se déroule pas à l'hôpital "par précaution", pour d'autres c'est au contraire un choix de bon sens : c'est le cas d'Étienne, Timothée et Antoine, les maris de Yolaine, Pauline et Marie. "Depuis la nuit des temps, les femmes accouchent chez elles ; ce n'est ni une maladie, ni un acte médical, alors je ne vois pas pourquoi elles seraient obligées d'accoucher en milieu hospitalier", explique Antoine. La naissance de sa deuxième fille à la maison, il l'a vécue comme une aventure ("Le père de famille est l'aventurier des temps modernes", glisse-t-il, citant Péguy). Il a pu jouer, comme père, un vrai rôle lors de l'accouchement à la maison, bien plus qu'à l'hôpital. "J'ai été heureux d'être beaucoup plus actif pour cet accouchement ; j'ai vraiment pu aider ma femme, ce qui n'avait pas été le cas lors du premier accouchement, artificiellement déclenché à la maternité et donc très passif. Je l'ai aidée du début à la fin, à se détendre, à prendre les positions qui la soulageaient, je l'ai encouragée quand elle en avait le plus besoin. Et puis, j'ai été le premier à recevoir le bébé dans les bras, même avant elle, ajoute-t-il les yeux brillants de fierté, et j'ai coupé le cordon !"

Une autre manière d'accueillir son bébé

À la maternité, le nouveau-né subit parfois des soins intrusifs qui ne sont pas nécessaires, même si des progrès ont été faits. À la maison, le temps est pris d'accueillir le bébé, sans l'arracher à sa maman ; seuls les soins indispensables lui sont donnés. "Je voulais que mon bébé se sente accueilli avec toute la douceur possible", confie Marie. "On ne se rend pas compte que, tout à coup, la lumière, le bruit, être allongé, aspiré, lavé, pesé, tout cela représente une grande violence pour le bébé qui a passé neuf mois au chaud, en boule dans le ventre de sa maman", explique Pauline.

C'est aussi le choix d'accueillir son bébé dans le quotidien, dans la continuité de la vie. Et pas dans un lieu à part, aseptisé et impersonnel – où sont bien souvent reléguées aujourd'hui l'entrée dans la vie et sa sortie : la naissance et la mort. "Lors de la naissance, le bébé fait irruption dans le quotidien d'une famille, il la bouleverse : c'est un nouveau départ", témoigne Yolaine. Et elle

ajoute : "Pour les frères et soeurs, c'est Noël à la maison !" "Quand notre bébé a poussé son premier cri dans la nuit, raconte Marie, on a entendu notre fille aînée qui s'est réveillée et qui a dit : "Bébé !" Elle a tout de suite pu accueillir sa petite soeur, avec une immense joie, sans être séparée de nous : je suis sûre que ça a beaucoup joué dans le bon établissement de leur relation fraternelle."

Un accouchement plus risqué ?

L'accouchement est toujours un moment délicat, pour la maman comme pour le bébé. La préférence de certains pour l'accouchement à l'hôpital est compréhensible : la médicalisation de l'accouchement leur apparaît comme une garantie de sécurité – mais elle augmente le risque d'un interventionnisme injustifié. Pour Yolaine, c'est surtout symptômatique d'une société du contrôle car "de toute manière, la vie flirte avec la mort, chez soi ou à l'hôpital".

Quoi qu'il en soit, pas question de mettre inutilement en danger la vie de la mère et de son bébé. La démarche est d'ailleurs très encadrée : l'accompagnement de l'accouchement à domicile par une sage-femme n'est autorisé que pour les grossesses non pathologiques et non gémellaires. Qui plus est, on ne peut pas accoucher à plus de trente minutes d'un hôpital, en cas de transfert d'urgence. "En quinze ans d'accouchements à domicile, jamais je n'ai eu à faire de transfert à l'hôpital dans le stress ou l'urgence imminente", témoigne Virginie, sage-femme. L'APAAD publie sur son site (https://www.apaad.fr/) ses données statistiques, qui tendent à montrer que le risque de complications n'est pas supérieur à la maison qu'à l'hôpital – il est même plutôt inférieur. "Je ne comprends pas pourquoi, aujourd'hui, en France, ce choix n'est pas proposé à toutes les femmes dont les grossesses se déroulent bien", affirme Yolaine.

Accoucher à la maison en temps de Covid ? "Raison de plus ! Quand j'ai entendu les récits de femmes qui ont dû accoucher à l'hôpital, dans des conditions parfois vraiment scandaleuses, ça m'a encore plus motivée !" indique Yolaine. "S'il y a bien un endroit où l'on risque d'attraper le virus, c'est l'hôpital..." ajoute Marie, qui a contracté une infection nosocomiale lors de son premier accouchement. "Bien respirer avec un masque..." se demande Pauline.

Quelques repères

Pour bien vivre ce grand moment à la maison, une certaine prudence est tout de même nécessaire, et quelques conseils pratiques sont les bienvenus :

Ne pas prendre sa décision sous pression, intérieure ou extérieure, dans un sens ou dans l'autre. Comme Pauline et Timothée, on peut faire le choix de ne pas en parler à l'entourage. Les sages-femmes le conseillent d'ailleurs, si on ne se sent pas la force de supporter la mise en cause et les discours anxiogènes.

De préférence, prendre sa décision en couple. Pour le troisième accouchement de Pauline, c'est Timothée qui a eu l'idée d'un accouchement à la maison ; Étienne et Yolaine ont pris leur décision en commun, de même qu'Antoine et Marie. Il arrive que le papa se sente moins à l'aise avec ce choix, mais non épaulée de son mari, une femme aura davantage de difficulté à faire confiance et se faire confiance.

"Être à l'écoute de son corps, reliée à son bébé, affirme Pauline, ce qui est vraiment beaucoup plus difficile à l'hôpital où beaucoup de contrôles sont pratiqués." Virginie conseille : "Laisser tomber le mental, être dans sa bulle, dans l'instinct."

"Ne pas croire que c'est pour les wonder-women, ajoute Marie. J'ai lu beaucoup de témoignages d'accouchement sans péridurale sur internet : les récits, souvent très détaillés, semblent héroïques. Rien de tel pour se dire : "C'est trop dur, je n'y arriverai jamais." Maintenant que j'ai accouché chez moi, je sais que c'est faux : pas besoin d'être une sur-femme pour accoucher. Il suffit d'être une femme, tout simplement ; et de se sentir en confiance."

Prévoir un environnement reposant, sans cuisine à faire (Virginie et Julia, sages-femmes, conseillent de stocker des surgelés) et sans ménage ; trouver des aides qui soulagent des enfants et

de la logistique pendant quelques jours.
Tenir compte du fait qu'il peut être nécessaire d'être transferrée à l'hôpital, pour la santé de la

maman ou du bébé. Pour Yolaine, "il faut s'y préparer ; ne pas le souhaiter mais s'y préparer". L'accepter d'avance, dans le cas où tout ne se passerait pas bien à la maison, permet à la maman de ne pas le vivre comme un échec, mais comme l'entrée légitime dans le domaine de la médecine. "C'est ça, à mon sens, le vrai rôle de l'obstétrique : aider les mamans à aller jusqu'au bout de leur grossesse, quand la nature fait défaut", conclut Marie.

Lectures

Pour aider la maman à préparer le travail de l'enfantement : J'accouche bientôt, que faire de la douleur ?, Maïtie Trélaün, éd. Decitre (2008), rééd. Souffle d'Or (2012).

Pour comprendre ce que vit le bébé au moment de la naissance : Pour une naissance sans violence, Frédérick Leboyer, éd. Seuil (1980), rééd. Points (2011).

Un classique du docteur Michel Odent, l'un des premiers obstétriciens français à avoir promu l'accouchement physiologique : Votre bébé est le plus beau des mammifères, Michel Odent, éd. Albin Michel (1990), rééd. sous le titre Le bébé est un mammifère, éd. L'instant présent (2014).

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5 avril 2021

Anniversaire

 

Un très bon anniversaire à Anne, ma belle soeur !  

Elle aussi, elle rejoint le club des heureux soixantenaires...

4 avril 2021

Alléluia !

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                      Alléluia, Christ en ressucité !

                      Oui, il est vraiment ressucité, alléluia !

                      Cloches de Pâques, sonnez à toute volée !

                      Entrez dans la joie du Seigneur, alléluia !

                                            Pourquoi parle-t-on des cloches de Pâques ? - Église catholique en France

3 avril 2021

Samedi Saint

vendredi-saint-explication-770x400 Notre espérance repose aujourd'hui dans le silence comme le Christ repose au tombeau.

Le silence du Samedi Saint

2 avril 2021

Vendredi Saint

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             Jésus meurt sur la croix pour nous sauver de la mort. 

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