Comme chaque année, le mois de janvier est lié à la quête pour les lépreux. C'est l'effervescence avec tous les préparatifs en amont: prévenir les curés , chercher des bénévoles, organiser la répartition des quêtes, récupérer les troncs au local, les fermer avec un lien, les distribuer un peu partout, puis les récupérer un peu partout ! Ici au local de l'Ordre de Malte. 

 Il faut ensuite compter l'argent dans chaque tronc (il n'y en qu'une partie sur la photo)...ça en fait des pièces ! En fait, ce n'est plus nécessaire car nous possédons maintenant une carte "dépôtlib" qui nous permet de tout déposer dans un sas (billets et pièces) et c'est la machine de la banque qui compte...

Mais, comme on aime bien dire à tous ceux qui quêtent combien ils ont récolté d'argent dans leur tronc, on a continué à le faire. A Rouen, nous nous partageons les églises avec l'association Raoul Follereau. Scouts et louveteaux quêtent pour eux tandis que guides et louvettes quêtent pour l'Ordre de Malte. Ainsi, tout le monde est content !

 Un petit farceur nous a déposé ce mini billet dans un tronc ! 😀 

C'est la dernière fois que je m'occupe de la quête avec mon amie Armelle. Cela fait 4 ans que nous faisions équipe et nous passons la main à 2 autres. 

 Guillaume est parti pour 3 semaines aux USA (Greenville , Caroline du Sud) et nous a fait parvenir quelques jolies photos, comme celle-ci de son départ. 

 Là bas, il a retrouvé un couple (de Canadiens, je crois) dont il avait fait la connaissance une fois précédente. Sympa !

 Comme toujours, les voitures so,nt impressionantes...

 Idem pour les repas !

 Il a pu se balader un peu durant le we.

 Magnifique ! Retour mi-février. 

Dernier volet de mes articles sur la maison de Fontaine-Simon...entrons à l'intérieur. 

 Au rez de chaussée: cuisine, salle de jeu, cave de plein pîed, chambre d'amis, sdb, wc, salon et chaufferie. Ici, la cuisine et au fond, la salle de jeu attenante et c'est bien pratique quand on a des petits ! 

 La salle de jeu qui peut, à l'occasion accueillir un lit. 

 A l'opposé de la maison, le salon qui donne sur la chaufferie. 

 La porte mène au couloir et vers le reste de la maison. 

 Un charmant petit escalier conduit à l'étage et tout particulièrement à la chambre parentale. 

 La grande chaufferie, pleine de placards, contient la chaudière, la réserve de fuel, lave-linge et sèche-linge. 

 La grande cave, glaciale en cette saison. 

 La chambre d'amis, la seule au RDC. Contrairement aux autres pièces, les chambres ont été, hélas tapissées...et ça date. Détapiisées ou avec un coup de peinture elles prendront toutes un vrai coup de jeune car elles sont charmantes et habillées de jolis placards en bois. Celle-ci sert actuellement de bureau à Pauline.

 La chambre d'Azélie qui est bien grande et accueille un canapé-lit en plus du lit à barreaux. 

 L'adorable chmabre d'Isidore, à côté de celle de ses parents. J'ai oublié de prendre celle de Zénaïde en photo...

 La visite vous a plu ? Ici, une jolie tablette aménagée dans le salon. 

 Plusieurs statuettes de Willow Tree. 

 Et pour cloturer la visite, encore une jolie tablette éclairée dans le couloir avec une statue de la Sainte famille selon Yves le Pape. 

Pas de travaux démesurés en perspective,  la maison est très agréablement habitable. Changer la chaudière, je crois, et peut-être agrandir le salon en déplaçant la sdb du RDC ? Rajeunir la cuisine, Recouvrir le carrelage dans certaines pièces, par du parquet flottant, enlever la tapisserie dans les chambres...Chaque chose arrivera en son temps car rien n'est urgent. 

Je comprends que vous soyez tombés amoureux de cette maison et de son jardin !

 Chose promise, chose due...je vous emmène découvrir le nouveau coin de paradis de Pauline et Tim. 

 Une grande longère pour l'habitation à droite, divers bâtiments à gauche, un grand jardin...et une forêt !

 Vue sur les annexes. A gauche la grange, au milieu les 2 anciennes soues à cochons et à doite le four à pain. 

 Une des annexes abrite le four à pain. Voyez comme elle est charmante avec son vieux poirier à droite et la passiflore à gauche !

 Vue de l'intérieur. Timothée y a aménagé un petit coin salon. Le four fonctionne, Tim y a déjà cuit des baguettes !

 Deuxième annexe près de la première. Vous remarquerez qu'elles sont en très bon état. 

 L'une est encore occupée par du bazar, une belle collection de briques anciennes. L'autre est en meilleur état . A l'intérieur, sol cimenté. Qui n'a pas rêvé, enfant d'avoir une telle cabane pour jouer ? 

 Troisième annexe, la grange. Là ancore, des passiflores y courent. 

 Vue de l'intérieur. Bien agréable, aux premiers beaux-jours d'y prendre ses repas...ou pour y installer un babyfoot ? A droite, la porte nous conduit dans la grange à proprement parlé. 

 Sol bétonné et carrelé de briques anciennes. Tim a installé dans le fond son atelier bricolage. Une mezzanine accueille les planches de bois. La réserve de bois, de multiples placards de rangement...le rêve ! C'est encore un lieu de stockage, mais je suis sure qu'aux beaux jours elle aura été aménagée. 

 Plusieurs poiriers taillés en palmette profitent de la chaleur des murs. 

 Une mini serre va permettre de réaliser des semis. 

 Entrons maintenant dans la forêt. Admirez le tapis de petites pervenches !

 En face , une motte castrale, appelée aussi motte féodale ou encore poype, selon les régions. Ancêtres des châteaux-forts, ces fortifications de terre ont connu une large diffusion au Moyen-Âge. Un pont de bois permet de traverser le fossé sans se mouiller les pieds...quand il y a de l'eau.

"Dans la plupart des cas, le tertre était entouré d'un fossé, le sommet étant occupé par une forte palissade Un fortin de bois y était aménagé avec une tour de guet analogue à un donjon. La motte peut être considérée comme un château fort primitif."

 La motte est caractérisée par un fossé plus ou moins rempli d'eau qui la ceint. Quelle chance d'avoir ça sur son terrain ! Les mottes castrales sont des lieux protégés qu'il est interdit de détruire et sur lesquels les fouilles sont interdites. Vous remarquerez le viel escalier de briques conduisant au sommet de la motte ? Quel magnifique terrain de jeux ! On imagine les cousins jouant aux preux chevaliers et grimpant à l'assaut de la forteresse...

 L'eau ne fait pas le tour mais presque. En cas de crue de l'Eure ( elle passe à moins de 100m), les fossés doivent être pleins mais j'ai peur qu'ils soient bien secs en été. Tim va essayer de creuser un peu plus le fossé là où il est asséché. 

 Premières fleurs du jardin: les perce neige. 

 Le jardin est divisé en plusieurs espaces...et en plusieurs potagers! On y trouve beaucoup de choses: vignes, topinambours, fraisiers, asperges, kiwis, plantes aromatiques, fleurs diverses...Un arrosage enterré est installé, le luxe !

 Je ne sais pas si les bâches de la serre existent encore. 

 Des groseillers, des framboisiers...

 Une superbe glycine. 

 Plusieurs pieds d'artichauts qui ne manqueront pas d'égayer le jardin de bien jolies fleurs fleues. Leur feuillage vert-gris est aussi du plus bel effet. 

 Beaucoup de pieds de blettes (appelées aussi poirées), ce qui est bien appréciable en cette saison. 

 Devant la maison, un puits à manivelle...et de l'eau...extra ! 

Le jardin dort encore mais je sens que ça va être une explosion des sens au printemps ! Hâte de revenir pour découvrir tout ce qui va sortir de terre...

Avant de vous raconter mon séjour à Clermont-Ferrand, respectons la chronologie . Je me dois donc de vous présenter le nouveau lieu de vie de Pauline et Tim. Voici tout d'abord quelqus photos prises lors du we de janvier que nous avons passé là-bas. 

 Fontaine-Simon est situé à exactement 1h40 de Rouen, c'est chouette ! Nous voici réunis dans leur grande cuisine où règne une cheminée...un bonheur en cette saison !

 La p'tite famille, tellement heureuse d'être ici !

 Rapide aperçu du jardin avec vue sur le verger. 

 Zénaïde joue de plus en plus avec Isidore qui a fêté sa 1ère année le 10 décembre.

 L'anniversaire de pauline était, quant à lui le 12 janvier...nous le lui avons souhaité avec quelques jours de retard. 

 Tandis que JF bouquine au coin du feu, jeux de société pour toute la famille. 

 Cette photo ne vous fait-elle pas penser aux "Musiciens de Brême" ? 

 Samedi et dimanche, nous nous sommes baladés autour du hameau. Il faisait grand froid mais c'était chouette. 

 Beaucoup de petits chemins bien tranquilles. 

 Jolies demoiselles bien emmitouflées. 

 Incroyable, ce tronc d'arbre creux où Azélie a réussi à disparaître complètement !

 Beaucoup de rivières, de petits lacs dans les alentours. 

 Et je vous laisse sur votre faim en vous offrant juste une photo de la maison...mais promis, la suite arrive !

 A l'heure où vous lirez cette page, je serai à Clermont-Ferrand où je passe quelques jours pour seconder Héloïse, car Guillaume est parti aux USA pour 3 semaines. Voilà un bon prétexte pour retrouver ma fille est ses petits !

 Pour vous aider à patienter, une photo du cerisier devant la cuisine, en fleurs depuis le mois de décembre. 

 Et puis celle-ci, aube sur la ville de Rouen. 

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Ces situations typiques des familles nombreuses qui vous marquent à vie

Liderina | Shutterstock

Si vous faites partie d’une famille nombreuse, vous allez certainement vous reconnaitre dans l'une des situations décrites par Cerith Gardiner, journaliste de l'édition américaine de Aleteia. Elle décrit avec humour les bienfaits insoupçonnés de grandir au sein d'une famille nombreuse.

Grandir avec huit frères et sœurs a certainement été pour moi une bénédiction, même si je ne l’ai pas toujours réalisé quand j’étais plus jeune. Maintenant que j’ai la quarantaine, je garde d’excellents souvenirs de cette époque et je rends grâce à mes parents pour tout ce qu’ils ont fait pour nous. Aujourd’hui, je peux dire que leur ouverture d’esprit pour accueillir autant d’enfants a été le plus beau cadeau que j’ai reçu. Alors, en l’honneur de toutes les familles nombreuses, voici 14 situations typiques que vivent les enfants de familles nombreuses et qui je l’espère vous feront sourire.

1 ÊTRE APPELÉ PAR D’AUTRES PRÉNOMS

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Lorsque votre mère vous appelle pour venir l’aider, elle utilise tout sauf votre propre prénom. Ma mère avait l’habitude de dérouler les prénoms de ses enfants par ordre de naissance jusqu’à ce qu’elle arrive à mon prénom. J’ai eu de la chance car étant le numéro cinq de la fratrie, elle n’avait pas beaucoup de chemin à faire. Quant à ma petite sœur, elle devait attendre quelques bonnes secondes avant que son prénom ne soit prononcé, et même là, il arrivait parfois que le chien lui vole la vedette et soit mentionné en premier !

2 S’HABITUER À NE PAS AVOIR DE TEMPS CALME

Essayer de trouver un peu de temps seule était toujours difficile. Même sous la douche, je pouvais être interrompue par un frère ou une sœur plus âgée qui avait besoin d’urgence de la salle de bain, ou par des plus jeunes qui voulaient juste dire « coucou ». Ce qui est génial, c’est que cela m’a préparée à ma vie de mère, où avoir du temps pour soi est un luxe à ne pas tenir pour acquis (même si, après cinq minutes de silence, je commence à me sentir seule !).

3 PARTAGER UNE CHAMBRE

bruce mars | Unsplash CC0

Les chambres à coucher ont toujours été un sujet délicat dans ma famille. Quelle chambre était partagée avec quel frère ou quelle sœur ? Seuls les deux frères aînés avaient leur propre chambre. J’ai partagé la mienne avec des frères et sœurs plus âgés et plus jeunes, à différentes étapes de mon enfance, et chaque nouvel occupant apportait quelque chose d’unique à la chambre. Non seulement cela nous a aidés à créer des liens, mais nous avons ainsi été confrontés à tous les problèmes et partagé aussi quelques secrets.

Lire aussi :Partager une chambre avec son frère ou sa sœur, une chance

4 DÉCOUVRIR LES JOIES DE PORTER LES VÊTEMENTS DE SES AÎNÉS

Je me souviens encore du cardigan violet de ma sœur aînée que je convoitais depuis quelques années. Le sentiment de satisfaction que j’ai ressenti lorsqu’il a finalement atterri entre mes mains était incommensurable. Je me moquais bien de savoir qu’il avait quelques trous de mites ou que les manches s’étaient un peu étirées. Je portais le cardigan de ma grande sœur ! Cette joie était, avouons-le, parfois tempérée par un lot de vêtements d’été taille 12 ans hérité de mon aînée dont l’état était prétexte à les porter le moins possible.

5 ET LES JOIES D’AVOIR SES PROPRES VÊTEMENTS

Sergey Ryzhov – Shutterstock

Noël signifiait souvent recevoir une robe toute neuve. Oui, toute neuve, jamais portée auparavant ! Ces petites pièces uniques étaient chéries, et lorsqu’elles étaient transmises aux jeunes sœurs, c’était comme si on leur confiait un nouveau-né. Cela nous a certainement appris à être reconnaissants pour les choses qui étaient si précieuses dans nos vies, et c’est encore le cas aujourd’hui.

6 ÊTRE CONNU COMME LA SŒUR OU LE FRÈRE DE…

Comme j’étais la quatrième de ma famille à fréquenter le même lycée pendant de nombreuses années, on m’a toujours appelée « la sœur de Sian ». En plus du fait qu’il y a une forte ressemblance entre tous mes frères et sœurs, on m’appelait aussi « la sœur de David  » ou encore « la sœur de Robert »… Une chose est sûre : on ne m’appelait rarement par mon propre prénom. À l’époque, cela m’agaçait, mais j’avais aussi beaucoup de fierté et un sentiment d’appartenance.

Lire aussi :Famille nombreuse : les secrets des mamans bien organisées

7 SE SENTIR RAREMENT OFFENSÉ

Austin Pacheco | Unsplash CC0

Avec un grand nombre de frères et sœurs, les occasions de rire et de plaisanter sont encore plus nombreuses… souvent aux dépens les uns des autres. Les frères et sœurs sont toujours prompts à souligner « tendrement » tous vos défauts, ce qui ne fait que vous vous renforcez pour la vie dans le grand monde.

8 SAVOIR NÉGOCIER DÈS LE PLUS JEUNE ÂGE

Entre la négociation nécessaire pour obtenir le dernier biscuit et la discussion pour convaincre vos parents que vous avez plus besoin de la voiture que votre sœur, vous développez rapidement des compétences de négociateur aguerri.

9 RÉORGANISER LE CALENDRIER DE L’AVENT

Lithiumphoto | Shutterstock

L’un des problèmes lorsqu’on a plusieurs frères et sœurs, c’est qu’on a l’impression de devoir attendre une éternité avant de pouvoir ouvrir une fenêtre du calendrier de l’Avent. Le pire, c’est quand vous découvrez que votre fenêtre a déjà été ouverte par un frère plus jeune et que vous devez passer le reste de la matinée à réorganiser le planning d’ouverture des fenêtres du calendrier.

Lire aussi :Fonder une famille nombreuse, un rêve pour un Français sur deux

10 AVOIR SUFFISAMMENT DE PERSONNES AVEC QUI JOUER

C’est un sujet important. Lorsque vous voulez jouer à un jeu de société (ou à n’importe quel autre jeu d’ailleurs), vous trouverez généralement suffisamment de personnes pour se joindre à vous. Cependant, à mesure que le nombre de participants augmente, le risque de d’être opposé à un mauvais joueur de se disputer pour savoir qui est le prochain à jouer augmente mécaniquement. Un apprentissage utile pour apprendre à gérer les conflits.

11 APPRÉCIER VRAIMENT VOTRE ANNIVERSAIRE

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Le seul jour de l’année où vous êtes vraiment la reine du bal, c’est votre anniversaire. Ce jour-là, vos frères et sœurs font un effort particulier pour vous, et vous avez droit à vos plats et votre gâteau préférés.

12 SAVOIR QUE VOUS SEREZ DÉFENDU HÉROÏQUEMENT

Je me souviens d’une fois où j’ai été harcelée par une fille à l’école parce que je faisais partie d’une famille nombreuse, avec tous les quolibets habituels. J’en ai parlé à ma sœur et le lendemain, j’étais dans la cour de l’école, avec mes quatre frères et sœurs aînés à mes côtés. Ce jour-là, toutes les insultes ont cessé.

13 AVOIR UNE RAISON PARTICULIÈRE POUR PROFITER DES VACANCES

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Dans les familles nombreuses, le mieux n’est pas de partir en vacances dans un endroit spécial, mais de retrouver enfin ses frères et sœurs aînés qui ont déménagé ou qui sont partis étudier à l’université. Même si cela signifie parfois que vous devez prêter votre chambre, vous êtes heureux de passer du temps avec votre grand frère ou votre grande sœur. Après tout, tout le monde réuni, la famille se sent au complet.

14 SE RÉJOUIR DES CÉLÉBRATIONS SANS FIN

Entre les mariages, les naissances, les baptêmes et toutes les autres occasions familiales spéciales, il se passe rarement un mois sans qu’il y ait quelque chose à organiser ou quelqu’un à célébrer. Et avec la nouvelle génération qui grandit, ces occasions se multiplient et sont forcément mémorables… avec de nouveaux petits enfants qui courent partout. Qu’il s’agisse d’un parrain ou d’une marraine, d’un conseiller ou d’une oreille attentive, vos enfants seront toujours entourés et aimés par une multitude d’oncles et de tantes (aux opinions parfois divergentes, mais toujours bienveillantes) !

 

  Pensées réconfortantes pour tous les parents qui se lèvent la nuit

LES AUTRES PARENTS

Vous vous sentez seul, comme s’il n’y avait personne d’autre dans le vaste monde sombre que vous et cette toute petite personne adorable, qui serait tellement plus adorable si elle se rendormait. Mais la vérité est que vous n’êtes pas aussi seul que vous le pensez. D’autres parents, partout dans le monde, veillent sur leurs enfants exactement au même moment que vous. Ceci est magnifiquement illustré dans cette image de l’artiste Common Wild pour COPE, une association d’aide à la parentalité :

LA COMMUNION DES SAINTS

Si vous êtes chrétien, vous êtes accompagné la nuit non seulement par les autres parents, mais aussi par la Communion des saints : tous ces saints, hommes et femmes, dont beaucoup ont été des parents et dont on ne connaît pas les noms. Chaque mère devenue sainte, chaque père devenu saint, est à vos côtés. Leurs prières vous entourent. Si nous vivons conscients de cette réalité surnaturelle invisible, nous ne sommes jamais vraiment seuls.

L’EGLISE UNIVERSELLE

Cela peut paraître surprenant, mais le cri de votre bébé est un appel de Dieu. Comme les moines dans un cloître qui doivent abandonner leur travail à tout moment si les cloches du monastère se mettent à sonner, un père ou une mère ne sait que trop bien que son temps n’est pas vraiment le sien. C’est le temps de Dieu , et répondre à l’appel d’un enfant qui pleure est un acte d’obéissance fidèle, non seulement à votre vocation, mais aussi à Dieu qui vous a fait vous et votre bébé l’un pour l’autre. Tous ces petits actes d’obéissance, si douloureux soient-ils, constituent un sacrifice d’une immense valeur.

Vous pouvez offrir ce sacrifice en union avec la prière de l’Eglise universelle. En effet, outre les autres parents et les saints du ciel, d’autres veillent toute la nuit, mais pas à cause des pleurs des bébés. La Liturgie des Heures, l’ancienne prière de toute l’Église, est offerte dans la nuit, en louange ininterrompue dans le monde entier. Savoir que quelqu’un d’autre, dans votre fuseau horaire, s’est réveillé au milieu de la nuit pour faire l’œuvre de Dieu est une pensée profondément consolante.

Lire aussi :
Insomniaque ? Et si vous goûtiez à la prière nocturne ?

Si vous en avez les moyens, vous pouvez vous joindre à leurs prières : il existe des applications pour prier l’Office divin d’une main tout en berçant un bébé de l’autre. Vous pouvez également prier le chapelet, converser avec Dieu dans votre cœur, ou tout simplement vous exclamer : « Je vous offre tout cela, Seigneur! ». Unir vos prières à celles de l’Église et élever votre cœur vers le Ciel, même brièvement, sont de petits actes qui vous apportent la grâce de Dieu et vous donneront la force de continuer.

 Ce mois de janvier, la visite mensuelle d'un coin de Paris nous a conduites Place des Vosges, au musée Victor Hugo.

 Notre guide habituelle en savait un rayon sur le sujet et c'est plus agréable et enrichissant que de se contenter de lire les panneaux explicatifs ! 

 Dans l'entrée, un buste magnifique réalisé par David d'Angers. 

 Selon l'angle de vue, Victor Hugo ne semble pas le même homme. 

 C'est tellement beau ! 

Victor Hugo a vécu ici de 1832 à 1848, en compagnie de sa femme Adèle Foucher et de leurs 4 enfants.  Il avait donc entre 30 et 46 ans. Puis, suite au coup d'état du 02/12/1851,  ce fut l'exil en Belgique (1851-1852),   à Jersey  (1852-1855) puis Guernesey (1855-1870), soit presque 20 ans...

 L'appartement de la Place des Vosges (anciennement Place Royale) a été acquis par la ville de Paris en 1902, à l'occasion de centenaire de la naissance d'Hugo et aménagé en musée en 1903, grâce aux nombreux dons de l'ami de l'écrivain, Paul Meurice. 

 Les pièces ont été meublées et décorées avec des meubles et des objets ayant appartenu au poète au fil de ses déménagements. Ainsi, les décors de cette pièce appelée le salon chinois proviennent de la demeure à Guernesey de la maîtresse de Victor Hugo, Juliette Drouet. Tout a été conçu et réalisé par Hugo lui-même, démonté et remonté ici !

 J'ai ainsi appris que Victor Hugo peignait sur bois des encadrements de cheminée, de petits tableaux humoristiques, qu'il pyrogravait (cf ci-dessus) des décors pour Juliette. Ce trumeau lui a été offert en 1857 pour aménager sa 1ère maison à Guernesey. Le style japonais était alors en vogue et la pièce est, comme à l'époque (1863-1864) terriblement chargée, du sol au plafond. 

 Autres exemples des peintures sur bois réalisées par le poète. Incroyable, non ? 

 Il est surprenant de découvrir un tableau peint par Edmond de Palézieux en 1863 de l'intérieur de la maison de Juliette (qui avait rejoint son amant à Guernesey) avec les mêmes décors !

 Victor Hugo peignait sur bois mais aussi à l'aquarelle ou à l'encre sur papier. Ici le fameux phare d'Eddystone daté de 1866. 

 J'apprends aussi ce jour là que notre grand homme écrivait, non pas assis mais debout. Quand on imagine tout ce qu'il a écrit...

 A Guernesey, Victor Hugo disposait d'une pièce vitrée tout en haut de la maison. Baptisée "look out", c'est là qu'il écrivait, debout, en regardant la mer. 

 Je vous disais que l'écrivain décorait, peignait, pyrogravait...son épouse Adèle, dessinait quant à elle. Leurs 4 enfants, Léopoldine (1824) , Charles (1826),  Adèle (1830) et François-Victor (1828). Oeuvre réalisée en 1833. 

 Très beau tableau de " Léopoldine au livre d'heures"  peint en 1835 par Auguste de Chatillon.  

 Et voici Adèle dont le portrait a été réalisé par David d'Angers. 

 Le lit de Victor Hugo où il mourut en 1885. 

 Si beau, ce portrait réalisé par Léon Bonnat ! 

 Adèle Foucher, qui resta officiellement l'épouse d'Hugo  est morte en 1868 tandis que Juliette Drouet est morte, elle en 1883, 2 ans avant son grand amour. A partir de ce jour, Victor Hugo posa sa plume pour toujours.  Qu'elle était belle, même dans sa vieillesse ! Tableau peint en 1863, l'année de sa mort par Jules Bastien-Lepage. 

 Je termine cet article par deux autres tableaux qui me touchent comme celui des 2 seuls petits-enfants de l'écrivain, Georges (né en 1868) et Jeanne (née en 1869), enfants de Charles. Tableau peint en 1879 par Charles Voillemot. C'est au contact de ses petits-enfants que Hugo écrira "L'art d'être grand-père" en 1877. Son fils Charles décédant en 1871, c'est l'écrivain qui s'occupera de Georges et de Jeanne. 

 Je vous quitte avec cette dernière huile réalisée par Albert Fourié vers 1888 pour illustrer "l'art d'être grand-père" et intitulée "Jeanne endormie". 

  A Clermont-Ferrand, le jour de l'Epiphanie, les enfants ont organisé une procession d'offrandes jusqu'à la crèche. Quelle belle idée ! Jean portait l'encens, Bertille la lumière et Edith un petit coffre avec tous les efforts réalisés par les enfants durant le temps de l'Avent . 

 A la suite des Mages, les offrandes ont été déposées devant l'Enfant Jésus. Bravo !

 Mais où est la neige ? 

 Un tout petit peu...

 mais les balades n'en sont pas moins magnifiques !

 Initiation à l'escalade sur de bien jolis murs. 

 Bravo Bertille ! Ce n'est pas moi ferait ça...

 Encore une bonne idée d'Héloïse: inviter un enfant au restaurant en tête à tête. Il nous est arrivé de le faire aussi quand les enfants étaient petits.  Cette fois-ci, c'est Jean qui était à la fête et Héloïse a choisi un bar à chats. Vous connaissez sans doute ces lieux où l'on peut boire et grignoter tandis que des chats se promènent librement dans la pièce. Super idée pour un enfant !

 Parfois, on y fait de drôles de rencontres ! Non, non, la photo n'est pas retouchée...

 Plus de neige en Suisse qu'en Auvergne, semble-t'il. Arthur se régale avec sa bande d'amis.

 Ski à la montagne et bain dans le lac...c'est courageux !

 Pour ma part, je suis plus attirée par les fondues ! 😀

 Pas mal aussi les goûters autour de gaufres et autres douceurs !

 Patiemment, Arthur agrandit sa crèche en peignant des santons de plus en plus nombreux. Bravo, c'est très fin !

 Pauline et Tim ont quitté Chartres il y a 1 mois et découvrent un peu la région. Ici, chez des particuliers rencontrés via le Bon Coin pour un achat. Ils possédaient des animaux pour la grande joie des enfants. 

 Vive la campagne ! 

 Trop fière !

 Une fée s'est posée sur le rebord d'une fenêtre...

 Super goûter aussi à Chartres Fontaine-Simon ! Galette et madeleines faites maison.

 Bien mignonne, cette petite Azélie nourrissant son frère !

 Quel enthousiasme !

Je vous proposerai prochainement de découvrir la nouvelle maison (propriété ?) de Pauline et Tim car nous sommes allés y passer un we...