Anniversaire
88 ans ! C'est l'âge de Marie-Paule, la maman de JF en ce 08 septembre. Bon anniversaire et belle journée ! Quelques roses de Lannois pour fêter ce jour en douceur et en beauté.
88 ans ! C'est l'âge de Marie-Paule, la maman de JF en ce 08 septembre. Bon anniversaire et belle journée ! Quelques roses de Lannois pour fêter ce jour en douceur et en beauté.
Projet des garçons pour ce mois d'août...remplacer les balançoires qui étaient déjà là bien avant nous par un portique en bois conçu et réalisé par eux...
C'est Arthur qui a pris en charge l'essentiel des plans (du moins dans sa tête) mais chacun y est allé de ses idées. Il a fallu ensuite acheter du bois autoclave...pas si facile en ces temps de crise où certains matériaux font défaut.
Les premiers poteaux sont scellés dans du béton.
Il faut veiller à ce que c e soit droit...
La structure principale a pris place entre un vieux pommier et un cerisier, un peu en retrait par rapport à l'ancienne balançoire qui était fixée au sol dans une structure en béton.
Guillaume et Arthur en plein travail.
Le portique est installé.
A l'arrière, vue sur le mur de la cabane en pleine construction. Une échelle de corde est suspendue et maintenue dans le sol.
Voilà le résultat ! Un tobbogan gris qui se termine sur un tapis amortissant, un mur d'escalade, le joli toit conçu par Xavier, les échelles réalisées par Arthur, les barrières de protection...
En soubassement, une charmante cabane est aménagée: parquet, fenêtre fermée d'un plexiglas, bancs fixés.
Avec le soleil c'est encore plus joli !
Un gouvernail parachève l'installation. Nous sommes dans un bateau corsaire !
Autre vue.
Une balançoire double et une autre simple sont accrochées au portique.
Les petits-enfants ont suivi l'avancement des travaux avec intérêt et n'ont pas attendu pour essayer les jeux.
Ils sont ravis de cette nouvelle aire de jeux.
Inauguration des lieux avec Xavier qui, pour l'occasion porte le bérêt de commando ayant appartenu à son père lors de son service militaire. Comme sur n'importe quel navire digne de ce nom, il a brisé une bouteille sur le bateau que nous avons baptisé Surcouf , en mémoire de ce grand corsaire malouin. Bon...il a fallu ramasser tous les petits tessons de verre après !
Bravo les garçons, c'est vraiment du beau travail, réalisé dans la bonne humeur et la convivialité.
Encore quelques photos sous le soleil, pour le plaisir.
On croirait que ce bateau corsaire a toujours été là, non ? Magnifique !
Timothée, le roi de la galette !
Les pommes ont été précoces, cette année, surtout l'une de nos variétés, une golden, semble t'il. En route pour les compotes maison !
La table des petites...
et celle des grands.
Course d'épreuves: slalom, lancer de ballon, planche à roulettes...
Plus calme, séance de peinture mais aussi de modelage.
Je m'équipe en coloriages, mandalas, gomettes, cartes à gratter etc. C'est bien utile les jours de pluie ou pour calmer une ambiance un peu trop excitée.
JF était en congés en juillet...il a jardiné, bien sûr !
On a fini par gonfler la piscine, même si le temps était bien changeant.
Mes grandes bassines chinées à Emmaüs ont fait des heureux.
Découverte de la nouvelle piscine de St Malo qui est, paraît-il formidable. Elle regorge de nombreux toboggans de toutes sortes et de toutes difficultés.
Une visite guidée de Dinan nous tentait bien, d'autant plus qu'elle était annoncée comme adaptée aux familles et costumée. En fait, seule la guide était déguisée et on ne peut pas dire qu'elle ait su captiver les enfants...
En tout cas, Jean et les 2 grandes étaient ravis de sortir dans leurs jolies tenues!
Presque chaque matin, Bertille venait dans mon lit pour un câlin puis sa mission était d'arracher les roses fanées au niveau de notre fenêtre.
Oh les coquines qui s'accrochent aux jambes de leur grand-mère !
Juillet est fini...passons au mois d'août.
Qu'il est bon d'avoir tous ces petits corps tendres à embrasser et serrer ! Héloïse et Malo.
JF et Isidore.
Isidore sur Malo.
Trop fier !
Les plus grands aussi sont encore en âge de faire des calins...heureusement ! Avec Jean.
Au petit matin, mes 2 cocottes: Bertille et Zénaïde encore toutes chaudes et molles. Si ce n'est pas bon, ça...
Bertille et son petit frère...décontractés !
Bien mignon tout ça.
Azélie et Malo.
Encore un calin du matin...
et un autre l'après-midi !
Edith, dominatrice...
Calin sur la grève...
et calin dans l'herbe. La petite main d'Azélie sur le coup de son grand-père...
Calin avec des coups de soleil...
et calin dans la cuisine.
Calin après un gros chagrin...c'était quoi, déjà ?
Et le meilleur de tous...le calin du matin dans le lit des grands-parents !
Régulièrement, la grève nous appelle pour une balade ou un pique nique.
L'émerveillement est sans cesse au RDV.
En route, les poussins !
Marée haute ou marée basse...c'est tout aussi beau !
JF est ravi d'avoir toujours un petit qui lui donne la main.
Pas vraiment du sable, hélas, mais ça ne dérange pas les enfants.
Tous les enfants sont-ils des bâtisseurs ?
Le beau sourire d'Azélie.
Les fesses dans l'eau, c'est déjà un bon début.
Bertille la starlette tandis que sa mère se baigne courageusement.
Suite à la demande de Geneviève, en voici un peu plus sur Péguy et son poème "Eve, première mortelle" dont il est question dans l'article d'hier. Je surligne en bleu dans le poème quand il est question "de ranger Dieu lui-même".
C’était au cours de l’année 1913. En six mois, au retour d’une marche à Notre-Dame de Chartres, Charles Péguy écrit avec fougue, ferveur et foi un long poème sur la Création qu’il publiera en décembre dans les Cahiers de la Quinzaine.
Ce poème, si long qu'il est un livre à lui seul, je ne vous en propose qu'une infime partie, celle relative au rangement. Que c'est beau ! Il y a quelques années, ma soeur Pascale qui en connaît une grande partie par coeur (moi, un tout petit peu...) m'en a recopié un passage d'une belle écriture à la plume, sur des panneaux de papier que j'ai affichés à Lannois.
Vous pouvez lire l'intégral du poème ici.
¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨
Et vous seule vivace et seule industrieuse,
Vous vous dépensez toute, ô seule besogneuse,
À laver la vaisselle et ranger la maison.
Ô vous qui pourchassez jusqu’au fin fond des coins
La poussière et l’ordure et toute impureté,
Toute disconvenance et toute improbité.
Maîtresse des labeurs, des veilles et des soins,
Vous qui prenez ce bois pour allumer la lampe
Et la mettre au milieu de la table servie,
Et qui prenez ce lin pour essuyer la rampe,
Et qui rangez les fleurs et qui rangez la vie,
Ô femme qui rangez les travaux et les jours,
Et les alternements et les vicissitudes,
Et les gouvernements et les sollicitudes,
Et la vieille charrue et les nouveaux labours.
Ô femme qui rangez les palais et les tours,
Et les retournements et les iniquités,
Et la jeune détresse et les antiquités.
Et la vieille tendresse et les nouveaux amours,
Femmes, je vous le dis, vous rangeriez Dieu même,
S’il descendait un jour dedans votre maison.
Vous rangeriez l’outrage, et l’oubli du blasphème,
Si Dieu vous visitait dedans cette prison.
Femmes, je vous le dis, vous rangeriez Dieu même,
S’il venait à passer devant votre maison.
Vous rangeriez l’offense, et le pouvoir suprême,
S’il venait à passer devant votre raison.
Que n’avez-vous rangé la colère divine.
Que n’avez-vous lavé la grande iniquité.
Il était temps alors. Que n’avez-vous quitté,
Quand il en était temps le creux de la ravine.
Femmes, je vous le dis, vous rangeriez la foudre.
Si Dieu vous l’envoyait dedans votre maison.
Vous rangeriez la grâce, et le pouvoir d’absoudre,
Si Dieu vous visitait dedans cette prison.
Que n’avez-vous rangé le premier anathème,
Cette fois qu’il tomba sur votre solitude.
Que ne l’avez-vous mis dedans votre système
De bon gouvernement et de mansuétude.
Femmes vous rangeriez jusqu’à l’eau du baptême,
Si Jean redescendait vers un nouveau Jourdain.
Vous rangeriez l’hostie, et l’huile, et le saint-chrême
Si l’homme revenait dans le premier jardin.
Femmes vous rangeriez dedans votre cuisine
Avec le pain du corps le pain spirituel.
Que n’avez-vous rangé jusque dans sa racine,
(Il était temps alors), l’arbre intellectuel.
Que n’avez-vous rangé l’arbre perpétuel
Cette fois qu’il jaillit au creux de la ravine.
Que n’avez-vous rangé l’arbre contractuel
Cette fois qu’il jaillit au flanc de la colline.
Que n’avez-vous rangé la couronne d’épine
Quand elle était encore un timide bourgeon.
Que n’avez-vous rangé cette blanche aubépine
Quand elle était encore un candide surgeon.
Que n’avez-vous rangé cette rouge églantine
Quand elle était encore une naissante rose.
Que n’avez-vous rangé la colère latine
Quand elle était encore une naissante cause.
Que n’avez-vous rangé le sceptre dérisoire
Quand il était encore un fragile roseau.
Que n’avez vous rangé la couronne illusoire
Quand elle était encore un fragile réseau.
Que n’avez-vous rangé pour la première fois
Quand il était encore un fragile arbrisseau
L’arbre au double destin, l’arbitre au double sceau,
L’arbre de la science et l’arbre de la croix.
Que n’avez-vous rangé dans un âge absolu
Quand il était encore un arbre jouvenceau,
L’arbre au double destin, l’arbitre au double sceau,
L’arbre de la potence et l’arbre du salut.
Que n’avez-vous rangé dans un ordre absolu
Avant qu’il fût entré sous la seconde loi,
L’arbre au double destin, l’arbitre de la foi,
L’arbre de la créance et l’arbre du salut.
Que n’avez-vous lavé, diligente laveuse,
Mon front ensanglanté devant qu’il fût sanglant.
Que n’avez-vous alors, ô grande lessiveuse.
Lavé ma pâle face et mon auguste flanc.
Que n’avez-vous alors, ô femme de lessive.
Lavé ma barbe rousse et mes cheveux sanglants.
Que n’avez-vous alors, maternelle et pensive,
Soutenu ma faiblesse et mes pas chancelants.
Que n’avez-vous alors, aïeule au chef branlant,
Quand j’étais plein d’injure et couvert d’avanie,
Que n’avez-vous alors, aïeule au chef tremblant,
Essuyé cette ordure et cette ignominie.
Que n’avez-vous alors, ô femme de journée,
Préparé la maison pour la dernière fête.
Que n’avez-vous alors, ô laveuse acharnée,
Lavé mes cheveux roux et ma barbe défaite.
Que n’avez-vous alors, aïeule et châtelaine.
Balayé le château pour mon dernier repas,
Et balayé les fleurs pour mon dernier trépas,
Et balayé la mort pour ma dernière Cène.
Que n’avez-vous aussi balayé les soldats,
Et l’injustice assise au cœur du tribunal.
Et le treizième apôtre et le baiser vénal,
Et le consentement aux lèvres de Judas.
Que n’avez-vous alors, ô femme de ménage,
Essuyé le péché devant qu’il fût commis.
Que n’avez-vous enfin dans votre voisinage
Accueilli le sauveur avant qu’il fût promis.
Que n’avez-vous alors, ô mon âme, ô ma mère.
Essuyé les deux pleurs jaillis des mêmes yeux.
Que n’avez-vous alors, ô cent fois centenaire,
Recueilli le seul cri poussé vers d’autres cieux.
© Caroline
Jeanne Larghero - Publié le 03/09/21
« Femmes, je vous le dis, vous rangeriez Dieu même / s’il venait à passer devant votre maison… ». Charles Péguy était-il un indécrottable misogyne, vendu au patriarcat ? Un gobeur de stéréotypes, doublé d’un macho impénitent ? Ou avait-il prédit, cent ans avant tout le monde les incroyables succès d’édition de tous ces ouvrages consacrés au rangement de la maison, dédiés à l’organisation de notre temps et de notre travail ? Se promenait-il au mois de septembre dans les rayons de supermarchés consacrés aux grands nettoyages de rentrée ? Rien de tout cela, évitons au passage de succomber au ridicule des critiques anachroniques, et des interprétations hors-sol qui fleurissent dès qu’il est question du statut de la femme à travers le temps.
Et pourtant, dans ces vers du magnifique poème Ève, Péguy accuse bien la femme de se livrer à la manie du rangement, du classement, des comptes, et du ménage. Comme si une lourde malédiction pesait sur elle. Il n’a pas tort. Une force irrépressible empoigne toute maison, tout foyer, et produit de la dispersion, du morcellement, du bazar et de la saleté. C’est un flot continu qu’il faut remonter sans cesse. Encore et encore. Or nos « yeux inventés pour une autre lumière » cherchent l’ordre et la clarté, aspirent à cette harmonie d’où nous venons, où tout était donné et rien n’était compté.
« Le rangement n’est pas une maniaquerie toute féminine, empirée par la présumée inertie masculine : c’est un symptôme métaphysique ! »
Le rangement n’est donc pas une maniaquerie toute féminine, empirée par la présumée inertie masculine : c’est un symptôme métaphysique ! Nous rangeons parce que nous sommes des créatures déchues, des reines tombées de leur trône ; nous rangeons parce que nous sommes faits pour le Ciel, pour ce qui est éternellement beau et qui nous échappe ici-bas… Qui aurait pu croire que le rangement a bel et bien quelque chose à voir avec l’Histoire du Salut ?
Bénissons alors celles qui rangent car elles nous font lever la tête, elles nous redisent mystérieusement que nous ne sommes pas faits pour ranger, mais pour vivre et profiter à plein d’un air plus pur et d’un espace plus large encore. Désolons-nous par conséquent, à la suite de Péguy, lorsque la folie nous prend de vouloir ranger Dieu même : tout mettre dans des cases, bloquer dans des cadres, empêcher que la vie dépasse, déborde ou dérange. Vivre et aimer, c’est accepter de ranger pour les autres sans compter et décompter, sans ajouter et retrancher perpétuellement le temps passé et les tâches effectuées. Vivre et aimer, c’est aussi accepter d’être bousculé, dérangé, c’est aussi fermer les yeux sur ce qui n’est pas à sa place, ouvrir son cœur à celui qui, au mauvais moment, « vient à passer devant notre maison ».
Ce jour là, nous ne sommes pas prêts de l'oublier !
Nous avons reservé un âne pour la journée, sur la bonne idée de Pauline. Il se nommait Olenka, et Jean qui avait du mal avec ce prénom ne cessait de l'appeler Polenta ! Nous étions 5 adultes et 7 enfants dont 2 bébés et il n'a pas été possible de réserver 2 ânes. En effet, vu le nombre de petits que nous avions à gérer, 2 ânes auraient été trop...et nous nous en sommes vite rendus compte.
Nous commençons par un apprentissage bien utile pour nous familiariser avec la bête. Nous apprenons, en autres, comment le faire avancer quand il ne veut pas et comment passer derrière lui. Les enfants le brossent, très enthousiastes.
Départ sous une petite pluie...on s'est demandé si on avait eu une bonne idée de venir là !
Chaque enfant monte à tour de rôle. Quelle fierté de tenir la longe !
Nous nous retrouvons rapidement dans la campagne et ne sommes guère dérangés par les voitures. Nous avons réservé Olenka pour la journée et suivons un circuit de 10km (une boucle) qui est établi par les organisateurs.
Clin d'oeil incroyable du Bon Dieu...une pancarte à l'entrée d'un terrain !
En fin de matinée nous nous rapprochons de la mer d'un bleu turquoise. Le soleil se lève.
La fatigue et la faim commencent à se faire sentir chez les plus jeunes.
Le paysage est magnifique.
Après avoir enfermé Olenka dans un enclos prévu pour, nous descendons jusqu'à la petite plage.
Des sacoches portées par Olenka nous tirons de quoi nous restaurer et reprendre des forces.
Le rocher du surveillant de baignade ?
et il nous faut repartir si nous voulons terminer la randonnée à 17h comme recommandé.
Pas besoin de pousser les enfants, ils sont aux anges !
Les chemins sont très agréables et nous croisons parfois d'autres ânes en vadrouille.
Même les petites sont heureuses de se retrouver sur Olenka. Azélie,
Edith.
Parfois il faut faire preuve de patience et de fermeté...
On nous avait averti qu'Olenka aimait beaucoup le maïs...mais il était aussi amateur de blé !
Il faut parfois s'y mettre à plusieurs pour décider Olenka à se remettre sur le droit chemin...
10 km étaient bien suffisants pour nous avec les enfants que nous avions. L'âne ne nous permet finalement pas d'aller plus vite et il ne peut porter qu'un enfant à la fois en plus des bagages.
Quelle belle expérience que cette journée en compagnie d'Olenka ! Les enfants et les adultes étaient enchantés !
Le 27 juillet, JF et moi fêtions nos 36 ans de mariage. Les enfants présents nous ont gentiment préparé un excellent tiramisu. Trop mignon, l'enthousiasme de Zénaïde !
Chouettes photos saisissant un instantané !
Tellement gâtés par ces enfants pleins de délicatesse et de bonnes idées qui ont décoré le séjour et préparé le déjeuner !
Nous avons ensuite ouvert l'album photos de notre mariage. Tant d'êtres chers sont morts depuis...mes grands-parents, ceux de JF, mes parents, le papa de JF, 2 cousins de JF ( Philippe et Vincent), des oncles et tantes, des amis...mais nous n'avions pas idée, à l'époque de tous ceux qui allaient naître et enrichir nos vies !
Les filles m'ont demandé de remettre ma robe de mariée...avec une taille basse, il n'y avait pas trop de risque que je ne puisse rentrer dedans ! C'est émouvant, quand même...
J'en avais dessiné le modèle et le patchwork de dentelles qu'une vieille couturière italienne avait réalisés...
La même robe 36 ans plus tôt...
Merci, les enfants pour ce beau moment de nostalgie !
Quand le soleil brille et que la température monte, vite, vite, filons à la plage ! Ici, plage de l'Ecluse à Dinard ou le voilier "le renard" nous offre un beau spectacle.
Tout a commencé par le marché de Dinard et un tour de manège pour les 2 filles présentes.
Zénaïde et Azélie.
Et puis c'est si bon de savourer une galette-saucisse tout en surveillant du coin de l'oeil les goëlands affamés et sans-gêne.
Il fait chaud...une glace s'impose !
Quittons les pulls pour les maillots !
Certains iront même jusqu'à se baigner...
Autre jour, autre plage, celle de St Lunaire.
Petit Malo goûte aux joies du sable.
Joies aussi du pique nique et des chips croustillantes de sable...
Que c'est bon !
C'est bon d'avoir un grand-père sous la main pour porter les bébés et tenter de les endormir...
L'eau est divinement claire, surtout dans les vasques entre les rochers.
ça court, ça saute dans tous les sens !
On pêche des crabes ou des crevettes, on ramasse des coquillages, des algues...
Le fond de l'air est frais pour qui a l'audace de se tremper...
Le bain, ça fatigue...
Pauline entre fille et filleule.
Pratiques les bébés allaités !
Hummm, qu'on est bien à la plage !